Top 5 des affaires gossantes chez les magazines (en papier). Le chat sort du sac!

En bonne fashionista (hahahahahahaha), j’ai comme devoir de m’inspirer de plusieurs choses; ça va du vrai monde aux séries télé, des sites web aux revues. Dans un cours, j’ai dû faire une analyse médiatique et je me suis retrouvée à comparer les éditions de novembre du Clin D’œil et du Elle Québec.

Au début, c’était beeeeen le fun. Mais je me suis retrouvée en pleine crise de nerfs à arracher toutes les publicités en carton et à les lancer à terre. Winston était comme WTF, surtout qu’il était 3 AM et je l’empêchais de faire son beauty sleep.

En parlant avec des amis, nous en sommes venus à un top 5 des choses vraiment énervantes dans le monde des magazines papier. (Mais j’aime les magazines pareil, no beef.)

Les fameuses maudites publicités en carton

Je suis consciente que produire un magazine ça coûte cher, mais les pages qui tournent à cause du carton, ça nuit à l’expérience de lecture. Ça me fait faire des petits breakdowns.

Je sais qu’une fille avec pas mal de rides, c’est moins vendeur sur une couverture de magazine, mais avec le HD et les TV plus grandes que mon lit, on voit la dichotomie entre les deux, on est pas fou/folles.

Je vais faire un aveu : je n’ai jamais acheté de parfum suite à une pub dans un magazine et je ne connais personne qui en a fait autant. Enough said!

Souvent, c’est quelque chose de cheap comme un énième sac de transport que tout le monde a en 1000 exemplaires. Pourquoi pas des produits cosmétiques? Han?

Les vêtements trop chers

Oui, la plupart des revues vendent du rêve (c’est leur mission de publication), mais une fois de temps en temps, ce serait cool de voir des éditos avec du linge abordable & beau. On jase.

Et vous, il y a des trucs qui vous dérangent?