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Quand des jeunes s’impliquent pour améliorer le monde, c’est vraiment beau #JournéeUNIS
Crédit: Josiane Stratis

J’ai tendance à m’overbooker, c’est un classique chez moi avec mon TDAH, surtout que ma capacité d’organisation est vraiment nulle. Bref, tout ça pour dire que Telus m’a invitée à aller voir la Journée Unis avec eux, le lendemain du lancement de notre deuxième livre. Pas besoin de vous dire que j’avais hâte de boire un café quand je suis arrivée dans la salle du Théâtre Saint-Denis entourée de centaines de jeunes survoltés présents pour parler d’engagement social. 

La journée UNIS, ça sert surtout à montrer aux jeunes que l’engagement social, c’est vraiment formateur et que c’est surtout le fun. Au menu, on parle de racisme, de comment changer les choses, d’intimidation et de comment on peut faire des petites actions quand on est jeune pour que ce soit plus agréable, notre monde, plus tard. 

J’ai eu la chance aussi de rencontrer une jeune fille qui m’a raconté avoir été victime d’intimidation. C’était Telus qui présentait sa conférence afin de parler du fait qu’il faut savoir être au-dessus de ça, dans la vie, des fois, les messages de haine que l’on reçoit. Je trouvais qu’elle était très sage pour son jeune âge. La façon dont elle parlait de son expérience d’intimidation et de comment elle s’est servie de ses haters pour montrer aux jeunes de son âge qu’il fallait avoir une discussion là-dessus, je trouvais ça beau. Parce que c’est important de parler de toutes les formes d’intimidation et de comment certaines personnes peuvent avoir des comportements vraiment pas le fun sans se rendre compte des conséquences. 

En sortant de la journée UNIS, je sais pas, j’étais un peu hangover, donc super moody, mais j’étais surtout contente de voir que c’est encore cool de s’engager et que c’est motivant pour les jeunes, pas juste pour des causes qui leur apportent quelque chose, mais aussi pour essayer de changer la vision des gens sur la maladie mentale, déconstruire le racisme et parler d’intimidation. 

Mon côté maman, mais aussi mon côté engagé, ont fait que j’étais vraiment fière d’eux. 

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