Et soudain, j’ai eu envie d’être un dude

Ma seule amie canadienne à Berlin, Alex, est toujours à l’affût des événements qui valent le détour. Vendredi soir, c’était un tournoi de ping-pong opposant le gratin du hipsteurisme berlinois, organisé par The Dudes Factory, dont je suis maintenant éprise.

« The Dudes a été fondé par un groupe d’amis qui partageaient le désir de créer une marque reflétant à la fois leurs intérêts créatifs et leur mode de vie particulier », peut-on lire sur leur site. Le groupe collabore avec des artistes et designers dont le travail correspond au profil de la marque, que je décrirais comme étant « sauvage urbain », mettons.

Leurs créations sont actuelles et en parfaite symbiose avec la tendance du rough intégré dans un contexte léché. Je mets ça dans le même panier que le mix rustique/luxueux du Pied de cochon ou le port de la veste à carreaux de Fardoche sur une jupe crayon.

Bref, j’ai un kick sur The Dudes. La boutique est fabuleuse, les événements qu’ils organisent sont classes et la comm-girl en moi tripe ben raide sur leur branding. Je n’ai qu’une seule envie : déménager dans leur magasin, tapisser mes murs de leurs sérigraphies, me faire tatouer leur logo dans le cou et devenir leur amie. Si seulement j’étais cool, moi aussi. I have a dream, qu'y disait…

The Dudes offre des morceaux pour femmes, mais je préfère ceux du côté « mâle ». Nos petits chums auraient l'air particulièrement hawt là-dedans et j'y ajouterais même une visite chez le barbier, avec ça comme inspiration.

P.-S. : Je n'ai aucune idée de qui a gagné le tournoi, en passant… D'un coup que ça vous chicoterait l'esprit.