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Découverte: Yonderground, un événement pour les arts

Le vendredi 6 avril, l’événement Yonderground s’appropriait la SAT sur St-Laurent.
Habituellement, le vendredi j’ai une routine bien à moi : à partir de 19h, je fais un petit roupillon et à 20h30, je me mets sur mon 36 pour le Salon Officiel AKA le hipster heaven. Pour la première fois en 10 mois, j’ai brisé mon rituel! Bye bye siesta, je te troque pour Yonderground!

Le concept de Yonderground fait preuve d’audace. La soirée cocktail fusionne arts visuels, danse, cinéma, musique et multimédias sous un même toit afin de cumuler des fonds pour la fondation Yonder. Le talent des jeunes artistes québécois est mis en lumière tout en répondant aux besoins d’un organisme dont la mission est d’amasser des fonds afin de soutenir des œuvres cinématographiques. Voilà une bonne cause à encourager (en échange d’un groooos 20$)!

 

Perso, j’aurais payé 20$ juste pour discuter avec le sculpteur Armand Vaillancourt. D’ailleurs, lorsqu’on a pris une photo-souvenir, il a soulevé son bonnet et il s’est mis à whip his hair à la Willow Smith.

Voici une image qui vaut mille mots (watch-moé ben encadrer ça) :

Si je reviens à Yonderground, j’ai particulièrement été émue par l’hétérogénéité des styles vestimentaires, ce qui m’a convaincu d’inclure une partie streetstyle à l’article. So, quels étaient les critères de sélection?

Pour être franche, tout a été sélectionné spontanément. Par exemple, si je voyais un inconnu et que mon esprit hurlait S-W-A-G, si mon cœur s’arrêtait sur une demoiselle coquette ou si un accessoire sortait du lot, j’abordais la personne concernée. D’ailleurs, je remercie tous les streetstylers qui ont posé pour TPL, Aljosa Alijagic, mon photographe de 6′ 5″ (merci coco!) et mon amie accompagnatrice, Katerine Duval. Psssst: elle est célibataire (ça y est, je l’ai dit, je suis morte).

 

Voici les quelques tenues particulièrement awesome :

Sarah Babineau, étudiante en graphisme. Quand je lui ai demander de poser, elle sautillait de joie. Vraiment, elle est juste trop adorable!

Antoine Caron Cabana, étudiant à Sherbrooke. En plus d’avoir une belle gueule, il s’habille bien! On aime ça les 2 pour 1.

Alana La Rose, hippie à temps plein. Alana c’est ma copine d’Aylmer. À la regarder, il sera maintenant interdit de juger les gens de Gatineau/Hull/Aylmer sur leur style!

Laurence Perrault, étudiante en histoire de l’art. Quand je dis que je me laisse séduire par les demoiselles-fleurs (définition: une femme entre 20 et 28 ans qui évoque la joie, la beauté et les fleurs), en voici un bel exemple.

Olivier Bouchard, étudiant en communication. Sa coupe de cheveux, ses souliers et ses lunettes, j’ai craqué.

Jessica Louisé, réalisatrice. Le jeu de blanc & noir, de motifs et de textures, ça me plaît bien.

Johnny Kim, gérant de la boutique WESC. Il avait pas vraiment le choix d’être swagger, right? 

Joëlle Binet, étudiante en production médiatique culturelle. Awwwwwww pour son collier et sa petite bourse.

Marie-Pier Lafresnaye, maquilleuse et étudiante en communication & Jane Anne Cormier, étudiante en danse contemporaine et future réalisatrice. Chics et souriantes, ces deux colocs s’agencent à perfection.

Robert Soare, danseur. La combinaison du pantalon kaki, des tattoos et du chapeau, ça fait chanteur indie.

Katerine Duval, danseuse et étudiante en communication, profil marketing. Je ne vais certainement pas répéter que cette fille est célibataire, je vais plutôt dire qu’elle est l’une des membres des Incroyables (mes BFF) pis que je l’aime d’amour.

 

Voilà ce qui clôt la partie streetstyler de Yonderground. TPL souhaite longue vie à la fondation Yonder.

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