Le Détail (crève) coeur: Sobriété et Minimalisme

Souvent dans la vie, on veut trop en faire. Trop performer, trop plaire, trop prouver, trop débattre, trop argumenter, trop penser, trop montrer, trop, trop, trop, trop. Même si les flasques vestimentaires de Courtney Stodden, nous ont un peu fait perdre goût à la vie, il y a lumière au bout du tunnel. La solution? S’intéresser au minimalisme. C’est un peu comme penser à un chocolat chaud noir mi-amer à l’ancienne. (On aime tous les chocolats chauds noirs mi-amers à l’ancienne). Ou encore comme s’inspirer de Marie-Hélène, apôtre du minimal. (Et on aime tous Marie-Hélène, apôtre du minimal).

En général, qui dit minimalisme dit souvent sobriété, simplicité, unité. La tendance a souvent été utilisée et réutilisée dans plusieurs défilés, et collections. On délaisse les pièces complexes/superflues/too much; on va à l’essentiel. Une couleur, une forme précise.

Si vous êtes comme moi et avez tendance à avoir l’air quelques fois d’arcs-en-ciel sur deux pattes (#notyourbestday) ou pire, d’épouvantails ambulants, prenez note. Des fois, trop c’est comme pas assez. C’est comme un exercice de synthèse en écriture, mais pour la mode. Synthétisons-nous. Le choix est vaste:

L’avant-gardiste rétro (courtes manches):

Le penchant féminin de Woody Allen:

La fille qui aimait les lignes et qui avait volé le manteau de l’apôtre Goulet:

Des lignes simples et droites. Couleurs neutres et couleurs franches qui s’assument.

Ce qui est cool avec le minimalisme, c’est qu’on a toujours l’air sur son 31 sans qu’on ait mis trop d’efforts (allô la paresse). Et puis, la cerise sur le sundae? C’est unisexe.