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Parlons des Jeux les plus gais de l’ère moderne!
Crédit: Ben Nelms/Reuters

Vladimir Poutine voulait se servir des Jeux Olympiques comme d’une excuse pour prouver sa virilité domination de l’univers. C'est plutôt le monde entier qui se sert des Jeux de Sotchi pour faire un métaphorique wedgie à sa loi homophobe, à commencer par Google.

Source : Google, capture d'écran

Camille et moi avons parlé un peu de la controverse entourant la tenue des Jeux en Russie. Pour moi, il aurait été profondément injuste de pénaliser des athlètes qui ont travaillé toute leur vie pour atteindre les JO parce qu’ils se tiennent dans un pays dirigé par la version 2014 d’un tsar. 

Plein de love à la communauté LGBT
Partout dans le monde, on envoie un message sans équivoque à Poutine. La rumeur veut que l’éclatant uniforme des Allemandes soit aussi un clin d’oeil au drapeau LGBT… ce que l’Allemagne dément. À Montréal, la verge tour du Stade olympique arbore un éclairage arc-en-ciel. Le drapeau multicolore flotte à l’hôtel de ville, emboitant le pas au mouvement qui a été amorcé au Canada à Saint-John’s Terre-Neuve. Québec, Toronto et bien d’autres villes ont fait de même.


Source : Facebook

Il y a aussi des campagnes de sensibilisation qui font sourire, comme cette publicité de l’Institut canadien pour la diversité et l'inclusion (réalisée par l'agence de publicité Rethink) qui nous rappelle que l'événement a toujours été un peu gai
 

Et celle-ci de Channel 4 en Grande-Bretagne. À noter, le message à la toute fin, tellement british comme clin d'oeil.
 


 

Plein de commanditaires des Jeux ont aussi senti le besoin de condamner les lois homophobes, par statement ou dans des publicités comme Bell, qui montre un couple gai qui s'embrasse.  

Il n’y a pas que la communauté LGBT qui se fait malmener par Poutine. Un planchiste russe nous le rappelle malgré lui avec son snow qui semble inspiré de Pussy Riot. Après que la terre entière se soit excitée, celui qui en a fait le design a précisé que la planche était plutôt inspirée par une bande dessinée.


Crédit : Sergey Ilnitsky / EPA, Source : Los Angeles Times

En passant
Juste avant la cérémonie d’ouverture, je lançais à la blague sur ma page Facebook que ne pas entendre le classique du web Trololo serait une grande déception. Et bien, je n’ai pas été déçue

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