Quand chemise et vomi (lire: imprimé wild, rétro et hallucinogène) font la paire, prise 2

J’ai toujours eu un faible pour les pièces douteuses. Fouillez-moi pourquoi: me no sé!  Je me rappelle qu’en février dernier, je parlais du veston-vomi, le petit martyre des vestons. En suite logique, on passe d’un vomi à un autre (haha!):

Vu de cet angle de la belle Lianne La Havas, c’est vraiment vraiment tentant! Je pense qu’elle et moi avons définitivement le même problème.

C’est simple, j’ai une collection complète de ce genre de chemises dans ma garde-robe, merci au Village des Valeurs. T’sais le genre de chemises aux imprimés style années 60, 70, too much? Aux couleurs te donnant à la fois le goût de puker, à la fois le goût de rire? Oui, c’est celles-là! Un peu comme celle à notre cher Julien, mais en moins belle. Un genre de vomi artistique, mettons.

Comme leur cousin éloigné, le veston, le degré de pukage est tellement élevé qu’elles en deviennent pas mal foucray!

On peut appeler ça comme l’on veut, mais on dirait que très peu de personnes veulent se retrouver coincer avec ce genre de pièces trop avant-gardistes. #TrèsSad. Disons que ça aide à briser des préjugés: tout est portable, à condition de s’assumer, HA!

Même que l’option voler la chemise de sa mère est aussi très très très économique!

Suis-je la seule à avoir ce genre de goûts spéciaux? Je suis pas mal sûre que non!

Chemise volée empruntée  le 05 /04/2012 et toujours neuve! WOOT.

Détail du montage ICI.