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Picasso prend des vacances à Toronto, ça rime et c’est fameux!

Picasso, c’est mon Alexander McQueen version art visuel. Légendaires, innovateurs & provocateurs, les deux artistes sont de différentes décennies et de différents milieux. Leur point commun? Ils ont révolutionné leurs disciplines respectives et je les admire!

J’ai pu assister à l’exposition Picasso, présentée au Musée des Beaux-Arts de l’Ontario à Toronto dès son ouverture, soit le 28 avril dernier. Mon expérience pourrait se comparer à un saut en bungee : la folie totale, un rush d’adrénaline artistique.

 

Puisque le Musée National Picasso de Paris se refait une beauté, une tournée mondiale profite des œuvres qui y sont originalement exposées ; il est rare qu’un musée prête un si grand nombre de toiles à une seule exposition. Surtout dans le cas de Picasso! À la faveur des Canadiens, Toronto compte parmi les villes choyées et d’ailleurs, ce sera la seule halte en nos terres…

En gros, l’exposition de Toronto est une chance en or qu’il ne faut surtout pas louper : des œuvres qui marquent 75 années prolifiques, classées dans différentes pièces en ordre chronologique.

 

Des exemples de trésors à découvrir?

Les Baigneuses, une série de sculptures réalisée en 1956

Le Baiser, une toile de 1925, résumant bien la période surréaliste de l’artiste

Le Sacré-Cœur, une œuvre précubiste datant de 1909-10

La Celestina, une peinture tirée de la période bleue

-Plusieurs Autoportraits

 

Sept pièces séparent les 147 peintures, sculptures, estampes et dessins de l’artiste espagnol. Les six femmes ayant partagé une relation avec Picasso sont également abordées et présentées selon la période où elles apparaissent.

Voilà une fresque de la vie de Picasso, reflétant autant sa vie intime que les conflits d’un long siècle passé.

Andréane, qui capote devant le musée! 

 

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