Mon amie facebook/amie d’enfance/partner de cours de dessin quand on avait 10 ans (salut, Éliane!) part bientôt au Honduras pour trois mois. Elle m’a suggéré de faire un billet sur ce qu’on apporte dans une valise quand on part en voyage de coopération humanitaire. Pis j'ai trouvé que c'était une bonne idée, alors voici. HA!
Pour avoir déjà vécu ce genre d’expérience (pour une période beaucoup plus courte, par contre), je sais que ça peut être vraiment compliqué de trouver ce qu’on va (ap)porter.
La première étape, c’est de choisir la « valise ». En prévision de mon voyage, je m’étais procuré ma maman m’avait donné pour Noël un backpack du MEC. Pratique et facile à transporter. Le meilleur cadeau de Noël. HA!
Le sac à dos que vous voyez dans le montage peut aussi se transformer en valise.
La crème solaire, la gourde d’eau, le bandeau à cheveux et le chapeau de paille sont définitivement des indispensables. Finalement, le carnet de notes à couvertures souples (ou encore, un magazine pour vous permettre un petit échappatoire glamour quand vous en aurez envie) peut s’avérer bien utile lors des soirées plus tranquilles!
Il y a aussi quelques recommandations à respecter, telles que « Pas de shorts plus haut que le genou », ou encore, « Pas de bretelles plus minces que deux pouces ». C'est tout un défi de trouver des vêtements qui répondent à ces critères quand tu sais que le mercure dépassera la barre des 30°C. Les vêtements Icebreaker dont Josiane vous a parlé ICI peuvent être bien utiles dans ce genre de situation!
S’il vous manque encore quelques morceaux pour compléter votre valise, je vous suggère d’aller faire un petit tour sur Eclipsis Vintage, la boutique de Camille, ou bien, sur Les Oubliettes (on vous en avait déjà parlé ICI). J’y ai trouvé de belles jupes, robes longues et pantalons. Confortables et souples, l'idéal pour les journées de travail sous le soleil.
Un petit conseil utile pour finir : Violaine, dont je vous conseille fortement de lire les articles DIY, m'a appris que les couleurs éclatantes attirent davantage les maringouins, surtout au début de la noirceur. Ça augmente ainsi le risque de contracter la malaria. Une petite recherche Google vous permettra de trouver plusieurs articles sur le sujet.
Avez-vous déjà participé à un voyage de coopération humanitaire? Qu’est-ce que vous avez apporté dans votre valise?