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Bob Ross : mon nouveau remède à tout
Crédit: Instagram | Bob Ross

En cette énième journée de confinement, je veux partager avec vous mon amour pour la personne qui a pris une grande place dans ma vie dernièrement: Bob Ross. Oui oui, je parle bien de ce personnage emblématique qui peint des paysages de nature et qui était très populaire dans les années 1990. Je suis maintenant une grande fan de ce cher monsieur. Il me fait tellement de bien que j’aimerais honorer chaque parcelle de son être avec ces quelques mots.

Tout a commencé il y a quelques semaines quand j’essayais de trouver des moyens de prendre soin de moi et de ma santé mentale. Mon anxiété atteignant un niveau envahissant face à la situation stressante que nous vivons tous, j’ai décidé d’explorer mon Netflix, question de mettre mon cerveau à off. J’y ai découvert la série « Beauty is everywhere », mettant en vedette ce charmant monsieur qu’est Bob Ross. Artiste peintre reconnu pour ses émissions filmées dans les années 1980 et 1990 où il peint en nous enseignant ses techniques, Bob Ross émane un je-ne-sais-quoi d’hypnotisant.

 

D’abord, son allure; que dire de son kit tout de denim, ses cheveux qui témoignent bien de son temps et sa barbe réconfortante! L’écouter m’apaise subitement, son regard est doux et son sourire généreux.

 

Ce qui me touche le plus je crois, c’est son amour de la nature. Lorsque Bob peint un arbre, il y a de fortes chances qu’il en peigne un autre à côté pour que ce dernier ait un ami (vous avez bien lu). Il comprend les montagnes et comment le soleil reflète sur chacune d’elles, et sur le lac et les roches aussi. Il me donne réellement le goût d’observer la nature et d’être reconnaissante de la grandeur de celle-ci. Lors du premier épisode (spoiler alert !) il nous présente son nouvel ami, un écureuil que lui et sa femme ont recueilli et nourri. Non mais… les mots me manquent.

 

J’aime penser qu’il s’adresse à moi lorsqu’il parle d’un ton rassurant. Le seul souci que j’ai est le choix des couleurs que je vais utiliser pour peindre cette montagne, ou ce rocher (notez bien que je ne peins même pas en regardant cette émission). Ses paroles démontrent un réel souci de mon bonheur, il n’a que faire que j’angoisse sur des futilités. Comme lui même répète souvent; il n’y a pas d’erreurs, que d’heureux accidents.

 

 

J’écris tout ça et je me sens à la limite gênée de triper autant, mais il faut vraiment que vous l’essayiez pour comprendre. J’ai recommandé l’émission à plusieurs amis qui sont maintenant adeptes. Il est mon happy place, mon remède à ce bizarre de monde parallèle qui m’est si étranger. Les recettes de pain aux bananes et les séances de yoga ne lui arrivent pas à la cheville en termes de zénitude. Lorsque je vis de l’anxiété, je suis en colère, je suis déprimée, je fais de l’insomnie, regarder un épisode est mon moyen de méditer et de croire un tout petit peu que ça va bien aller.

 

Avez-vous aussi une passion pour Bob Ross?

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