Les 20 meilleures tenues du film Le diable s’habille en Prada

Ce look marque un tournant dans l’évolution de la mode d’Andy, présenté lors du montage emblématique post-relooking sur les marches d’Elias-Clarke. La tenue associe un blazer vert à une jupe plissée à carreaux. Mais ce sont les bottes noires Chanel à hauteur de cuisse qui dominent la scène.

Taillé par Donna Karan spécialement pour Meryl Streep, cet ensemble entièrement blanc fait de Miranda Priestly une véritable leçon d’autorité contrôlée. Loin d’être un signe de pureté, la couleur blanche rayonne d’une puissance intouchable, encore plus frappante sur la ligne d’horizon new-yorkaise aux tons d’acier.

L’arrivée de Miranda à Paris n’avait pas besoin d’un discours – juste ce manteau. Garni de fourrure de renard en peluche, ce manteau ajoute une touche dramatique délibérée à sa palette autrement sobre. Classé parmi les looks les plus opulents du film, il s’agit d’un luxe avec autorité, sans excès.

Ce look, qui a fait ses débuts après le relooking, associe un col roulé noir intemporel à une jupe en lamé métallique qui scintille sous l’éclairage parfait de la penderie. En ancrant l’éclat de la jupe avec un haut minimaliste, ce look a trouvé l’équilibre insaisissable entre l’excentricité et l’élégance.

Porté sur une robe noire ajustée et des gants, le manteau gris à finition crocodile est devenu un marqueur visuel de la domination de Miranda sur la scène de la mode parisienne. Conçu par Patricia Field, ce manteau est l’une des pièces les plus chères de la garde-robe du film.

Avec pour toile de fond le mouvement des taxis de Manhattan, ce look allie la structure à l’élégance de la rue. Les bottes Chanel au genou, fabriquées en daim souple, ont donné de la hauteur, tandis que la large ceinture a cintré la taille d’Andy. L’ensemble de ces pièces offre un mélange de féminité éditoriale et de sophistication audacieuse.

Conçue spécialement pour la scène fictive du gala à la bibliothèque publique de New York, la robe présentait un décolleté profond et spectaculaire et une longue traîne qui attirait instantanément le regard. Les cheveux d’Andy étaient coiffés en un élégant chignon, ce qui permettait à ses bijoux et à ses épaules d’être mis en valeur.

L’influence parisienne a atteint son apogée lorsqu’Andy est sorti dans un manteau de brocart doré associé à une frange fraîche et à des bottines. S’inspirant de la couture française vintage, le manteau scintillait à la lueur des réverbères. De plus, le tissu orné contrastait magnifiquement avec sa silhouette moderne.

La sortie d’hélicoptère de Miranda était de la couture calculée. La cape noire pleine longueur, associée à des gants en cuir et à des talons structurés, a créé une silhouette d’autorité. Choisi spécifiquement pour véhiculer le pouvoir et le mystère, le tissu se déplaçait avec une précision cinématographique.

Contrairement à ses tons neutres habituels, la soie douce de Miranda a introduit un sentiment fugace de vulnérabilité, choisi intentionnellement par les stylistes pour humaniser sa personnalité. Malgré la teinte plus douce, elle a prononcé certaines de ses répliques les plus mordantes dans cette tenue – un rappel visuel que la douceur du ton n’a jamais émoussé son contrôle.

Capturée en un seul mouvement de caméra, la silhouette à une épaule brille d’une confiance discrète. Les paillettes sombres reflétaient juste assez de lumière pour donner une impression de luxe, tandis qu’une coiffure tombant sur le côté révélait la forme sculptée de l’encolure.

L’élégance discrète occupe le devant de la scène avec cette robe en jersey émeraude de Calvin Klein. Portée lors d’un défilé aux côtés de Christian Thompson, cette robe dégage une grâce sans effort. La taille ceinturée flatte sans en faire trop, tandis que la silhouette fluide se déplace avec une confiance tranquille.

Le cardigan gris et la jupe à carreaux d’Andy n’étaient peut-être pas des vêtements de haute couture, mais ils étaient tout à fait dans l’air du temps. Le cardigan en laine confortable a un charme universel, et la jupe à carreaux ajoute une touche classique. Cela a donné à Andy un look terre-à-terre et accessible qui a équilibré le monde prêt à défiler qui l’entourait.

Miranda a arpenté les trottoirs de Manhattan dans un manteau imprimé léopard qui avait pratiquement son propre programme. Avec une taille cintrée, un ourlet évasé et une absence totale d’hésitation, ce look a rompu avec son habituelle tendance minimaliste. De plus, la prise de vue en contre-plongée a permis à sa démarche d’occuper le devant de la scène.

Le manteau camel est arrivé comme le calme après la tempête. Drapé librement sur les épaules d’Andy, il a évité l’aspect structuré de la mode et s’est orienté vers quelque chose de plus personnel. Associé à de riches gants cognac et à des bottes assorties, le look est chaleureux et mature.

Porté lors de l’inoubliable discours céruléen, cet ensemble d’un bleu marine profond paraissait presque noir sous les lumières. Même assise, la posture de Miranda rayonnait de contrôle et de menace tranquille. Il n’est pas étonnant que ce moment soit aujourd’hui considéré comme l’ultime moment de richesse furtive du film.

Un blazer à pinces, une chemise blanche et une nouvelle confiance en soi – Andy n’avait pas besoin de dire quoi que ce soit, la tenue le faisait. Associée à un pantalon élégant et à un fourre-tout en cuir verni, la tenue était impeccable. C’est à ce moment-là que sa présence a fait tilt dans le travail, et il était impossible de ne pas remarquer le changement visuel.

Une robe fourreau noire associée à des perles apporte un mélange de contrôle et d’élégance vintage. Rien dans ce look n’était mou, mais il n’avait pas besoin de force pour retenir l’attention. Enfin, les perles font écho au style classique de Vogue et la silhouette épurée ne laisse aucune place à la distraction.

Le look de Miranda pour le défilé de mode de Paris n’avait pas besoin de couleurs vives pour se faire remarquer. La tenue, filmée pendant la Semaine de la Couture, a été tirée de la véritable garde-robe des rédactrices françaises. Chaque élément était délibéré, conçu pour se fondre dans la foule parisienne.

La puissance s’allie à l’élégance dans ce manteau enveloppant d’un vert inoubliable. La riche teinte émeraude attire l’attention, tandis que le col et les poignets imprimés léopard évoquent une rébellion ludique. N’oublions pas non plus la sacoche Kate Spade en forme de girafe et les escarpins Giuseppe Zanotti, des choix audacieux qui scellent l’aspect éditorial de ce look.