20 looks qui n’étaient pas considérés comme cool jusqu’à ce qu’ils apparaissent dans un film

Grâce à l’interprétation de Bruce Willis dans le rôle de John McClane, l’humble débardeur blanc est redevenu un insigne de l’héroïsme robuste. Transpirant, déchiré et indéniablement emblématique, le look était celui d’un « dur à cuire avec un cœur » Les détaillants s’en sont rapidement emparés et ont apposé la mention « John McClane-style » sur les débardeurs.

Le velours côtelé était réservé aux professeurs et aux grands-pères jusqu’à ce que Matt Damon le porte et le rende plus profond. Dans le rôle de Will Hunting, sa veste en velours côtelé discrète est devenue le signe visuel d’un charme cérébral et inquiétant. L’esthétique intellectuelle de la fin des années 90 s’est imposée, en particulier chez les étudiants.

L’allure rebelle de James Dean a transformé le coupe-vent, qui était un vêtement de sport pour le lycée, en un vêtement de base non négociable pour tous les jeunes cool en herbe. Après Rebel Without a Cause, la jeunesse américaine s’est ruée sur les blousons qui criaient « mauvais garçon » sans dire un mot, ce qui a fait exploser les ventes.

Avant qu’Ethan Hawke ne marmonne des phrases philosophiques en flanelle, ces chemises étaient surtout connues pour leur côté pratique. Mais Reality Bites a redonné vie à la flanelle en en faisant l’uniforme de l’alt-cool, du slacker désargenté.

Autrefois confinés aux studios de ballet, ces douillets tubes de tricot ont explosé dans la mode après que Jennifer Beals les a portés à l’écran. La sortie du film a triplé les ventes, tandis que les cours d’aérobic ont adopté la nouvelle tendance et se sont enrichis de nouveaux adeptes de la jambe extensible.

Avec ses armes et sa chemise, Leonardo DiCaprio a donné aux chemises hawaïennes une allure rebelle et étrangement romantique. Oui, nous parlons bien de ces accessoires de vacances autrefois moqués. Elles sont passées du statut de blague de papa à celui de must-have cool. Urban Outfitters a pris note, et la vague « tropical grunge » s’est répandue comme une traînée de poudre.

Qui aurait cru que les vêtements de la ferme pouvaient faire des ravages ? La Cher d’Alicia Silverstone portait des salopettes pastel avec un tel charme qu’il était impossible de ne pas en vouloir une paire. Clueless a inversé le scénario, transformant les salopettes en une mode polie et coordonnée. Les défilés des années 90 ont pris le relais et les versions ajustées des salopettes colorées sont de nouveau omniprésentes.

Élégant et sinistre, c’est une combinaison délicate. Mais le chef de gang dystopique de Malcolm McDowell a réussi à le faire. Le chapeau melon, autrefois réservé aux gentlemen anglais, a pris une tournure punk. Après le film, les amateurs de vintage et de tenues vestimentaires avant-gardistes ont adopté le look en mélangeant l’ancien et l’underground.

Le survêtement Adidas est devenu une mode culte après son apparition dans The Royal Tenenbaums, une version excentrique des vêtements de sport. Le normcore a pris son essor et les marques de créateurs se sont penchées sur les vêtements de sport rétro avec un flair excentrique inspiré par l’esthétique distincte de Wes Anderson.

Avant Almost Famous, un blazer en velours était considéré comme une relique des années 70 – plus « papa au bal de promo » que « gamin cool dans les coulisses » C’est alors qu’est apparu le journaliste rock du film, drapé sans effort dans un riche velours, semblant se situer quelque part entre une tournée de Led Zeppelin et une lecture de poésie.

Autrefois considérés comme ringards, les jeans taille haute ont fait un retour élégant après les mouvements emblématiques de Jennifer Grey dans Dirty Dancing. Les studios de danse se sont rapidement remplis d’élèves portant du denim, tandis que les centres commerciaux présentaient des mannequins portant la silhouette flatteuse et haute de Baby.

Les bretelles sont passées de l’étouffement à l’élégance lorsque Michael Douglas les a portées comme une armure dans Wall Street. Elles ont rapidement symbolisé l’influence et le dynamisme. GQ a célébré ce retour et les stagiaires en finance ont commencé à les porter dans l’espoir de rayonner comme Gordon Gekko.

Mean Girls a fait de la minijupe en denim un symbole de pouvoir dans la culture des centres commerciaux. Avant que Regina George ne l’arbore, la minijupe en denim n’était qu’un pis-aller des années 90. Puis, soudain, elle s’est imposée comme un symbole de statut. La mode adolescente a explosé, et des magasins comme Forever 21 et Abercrombie ont surfé sur la vague pour réaliser d’importantes ventes.

Le trench-coat avait une réputation : pensez aux vieux détectives ou aux navetteurs des jours de pluie. Puis Neo est arrivé. Une fusillade au ralenti dans le hall plus tard, le long trench noir est devenu le symbole ultime du techno-noir. Les joueurs et les hackers l’ont adopté comme une seconde nature.

Un coup d’œil à la dernière tenue de Sandy dans Grease, et l’humble combinaison est catapultée au rang d’icône. Noire, fluide et insolente, elle est devenue la pierre de touche de l’évolution du style – une minute, jupe de caniche BCBG, la suivante, royauté du rock n’ roll.

C’est alors qu’entre en scène Johnny Depp, canalisant le côté sauvage de Hunter S. Thompson dans un chapeau de style safari qui évoque le chaos et, d’une certaine manière, la fraîcheur. Ce look psychédélique a fait mouche. Très vite, les casquettes se sont retrouvées sur les campus universitaires, à cheval entre l’ironie et l’icône.

Les marques Vans et Nike SB ont connu une forte croissance après la sortie du film. Rendant hommage aux légendes du skate des années 70, Lords of Dogtown a propulsé la culture du skate directement dans les garde-robes des adolescents du monde entier. Le magazine Thrasher a d’ailleurs attribué au film le mérite de cette montée en puissance. Il s’agit là d’une façon de vivre avec son temps !

Les pantalons cargo étaient les parias du monde de la mode, à la fois larges et encombrants. Mais lorsque Charlize Theron est apparue à l’écran dans The Italian Job, tout a changé. Son look tactique et élégant a prouvé que l’utilité pouvait être élégante.

Le pantalon à jambe large de Diane Keaton dans Annie Hall a donné à la mode masculine une allure cool et sans effort pour les femmes, décontractée et en avance sur son temps. Ce look a déclenché une vague de mode non sexiste, a attiré l’attention de Ralph Lauren et a même été récompensé par un Oscar pour la conception des costumes.

Dans les années 80, les bottes de motard signifiaient que l’on roulait ou que l’on était malmené. Puis Arnold a débarqué, bottes aux pieds et lunettes de soleil étincelantes. En un rien de temps, les magasins Harley ont vendu des bottes de motard à tous ceux qui avaient envie de cette ambiance de badass dystopique, y compris les femmes et les aspirants. Cela a donné le coup d’envoi d’un boom des ventes au début des années 90.