10 coupes de cheveux élégantes pour hommes et 10 à éviter

Une bonne décoloration est presque invisible au début, puis vous remarquez à quel point elle donne l’impression que tout est propre. Le passage progressif d’une chevelure serrée à une chevelure plus fournie sur le dessus flatte presque toutes les formes de visage, c’est pourquoi les coiffeurs passent tant de temps à le perfectionner.

C’est la solution idéale si vous voulez une coiffure peu contraignante mais élégante. Le sommet décoiffé ajoute un mouvement qui convient aussi bien aux cheveux épais qu’aux cheveux fins. Les footballeurs européens en ont fait une icône, mais sa facilité d’entretien lui permet de rester d’actualité bien au-delà du terrain.

Les coiffeurs sculptent des coupes en dessous de la tête depuis les années 1910, et cela n’a pas perdu de son intérêt. Les côtés courts laissent la partie supérieure plus longue voler la vedette, et elle est suffisamment souple pour être lissée vers l’arrière pour un look formel ou ébouriffée pour un look décontracté.

Le drame appartient à la pompadour. Avec le devant relevé et brossé vers l’arrière, elle attire l’attention depuis qu’Elvis lui a donné une scène. Il faut un sèche-cheveux et un peu de patience, certes, mais le résultat est une coupe qui donne une impression de confiance intemporelle.

À la fois pompadour et rebelle, la coiffure quiff s’appuie sur la hauteur et le volume à l’avant. Elle est décontractée avec un jean, puis devient élégante lorsque vous portez un costume. Les rockers britanniques des années 1950 l’ont mise à la mode et elle n’a pas faibli depuis.

La coupe courte a la réputation d’être pratique pour une bonne raison. Courte et facile à coiffer, elle encadre le visage de manière nette et apporte une touche sportive. Sa popularité s’étend des casernes militaires aux terrains de football, ce qui prouve qu’elle permet de travailler et de s’amuser sans effort.

La coupe effilée reste subtile, les cheveux raccourcissant progressivement autour du décolleté et des oreilles pour une finition soignée et naturelle. Elle est parfaite pour un look soigné qui ne demande aucun effort, qui ne nécessite que peu d’entretien et qui pousse en douceur sans lignes trop marquées.

La coupe Ivy League est comme une cousine polie de la coupe courte. Les côtés courts maintiennent une silhouette nette, avec un dessus qui peut être séparé ou coiffé. Elle donne une impression d’élégance et de simplicité en toute occasion.

Une coupe à la houppette en dit long sur son style épuré. Chaque angle met le visage en valeur et l’entretien quotidien est pratiquement inexistant. De la séance d’entraînement aux aventures du week-end, ce look dégage de l’audace et de la concentration, laissant une impression durable où que vous alliez.

La coupe française donne aux côtés courts une touche moderne en ajoutant une frange texturée sur le devant. Cette frange adoucit le look, en particulier sur les visages ronds ou ovales. Elle est rapide à coiffer et ajoute juste ce qu’il faut de caractère sans trop compliquer les choses.

Maintenant que vous avez vu les coupes qui dominent le salon de coiffure, retournons la question et voyons celles qu’il vaut mieux laisser dans le passé.

Autrefois audacieuse, la coupe mulet a perdu de sa superbe. La coupe de cheveux à double personnalité ressemble aujourd’hui davantage à une nouveauté. À moins que vous ne vous produisiez sur la scène d’un groupe rétro, elle envoie rarement le message que vous souhaitez.

Cette fine mèche qui pend au cou a eu son heure de gloire dans les années 1980. Aujourd’hui, elle semble rarement intentionnelle. Rien que l’entretien est un casse-tête et, au lieu d’être branchée, elle ne fait que froncer les sourcils.

Le faux faucon a eu son heure de gloire, mais l’associer à des lignes dures rasées en fait un style qui semble forcé. Le contraste est souvent trop agressif pour être porté au quotidien, et l’entretien est incessant. En l’absence d’équilibre, ce style tient plus du gadget que de la déclaration.

Les cheveux superposés peuvent être magnifiques s’ils sont bien coupés et entretenus. Si vous ne les entretenez pas, elles perdent rapidement leur forme et commencent à paraître molles. Au lieu d’un style sans effort, l’ambiance devient désordonnée. Les garder impeccables demande souvent plus de travail qu’on ne le pense.

Le flat top est devenu célèbre dans la culture hip-hop du début des années 1990, avec sa silhouette pointue et carrée. Mais au-delà de la nostalgie, la hauteur géométrique semble plus caricaturale qu’actuelle. À moins que vous ne recherchiez un style rétro, il est difficile de l’adopter aujourd’hui.

Cette coupe de cheveux hybride vise la créativité moderne, mais elle est souvent inégale. Le dessus semble lourd tandis que le dégradé en dessous semble déconnecté. Même en allant régulièrement chez le coiffeur, le contraste peine à s’installer confortablement, laissant ce style entre la nostalgie du passé et l’expérience inachevée.

Le shag se situe à mi-chemin entre le rocker edge et le chaos « roulé hors du lit ». Sans coupe ni mise en forme, il cache souvent complètement le visage. Les groupes des années soixante-dix en ont fait une marque de fabrique, mais en dehors des salles de concert, il a tendance à perdre rapidement de son éclat.

L’accumulation de couches supplémentaires transforme une coupe audacieuse en une structure imposante. Chaque matin devient une bataille contre la gravité, avec des gels et des sprays qui font des heures supplémentaires. Certains admirent cette intensité, tandis que d’autres estiment qu’elle vire à la parodie lorsque la hauteur prend le devant de la scène.

Les lignes et les tourbillons tranchants comme des lames de rasoir apportent beaucoup de piquant lorsqu’ils sont fraîchement réalisés. L’enthousiasme est de courte durée, car la repousse estompe le dessin presque immédiatement. Les athlètes et les artistes font travailler les coiffeurs avec ces coupes, mais dans la vie de tous les jours, le look semble temporaire et difficile à entretenir.

Peu de coupes provoquent autant de retours en arrière que celle-ci. Sa forme ronde et uniforme aplatit les traits au lieu de les encadrer, et aucun gel ne peut vraiment la remettre au goût du jour. Très populaire dans les années 1960, elle est aujourd’hui définitivement reléguée au rang des vieilleries.