Les 20 uniformes sportifs les plus emblématiques

Les fines lignes bleu marine sur un tissu blanc impeccable ont donné aux Yankees une marque d’autorité intemporelle après son introduction en 1912, portée par des légendes comme Babe Ruth. Cet uniforme a toujours été l’un des plus reconnaissables dans le monde du sport. Certains pensent que les pinstripes ont permis à Babe Ruth de paraître plus mince.

Le rouge profond cousu sur le noir audacieux a créé une présence féroce dans la dynastie des années 90. Conçu pour intimider, ce maillot a subi l’influence de Michael Jordan, qui a personnellement exigé des maillots de rechange noirs. Même des décennies après sa retraite, ce maillot reste un best-seller.

En 1954, le design d’un adolescent a remodelé l’identité nationale avec un uniforme qui a permis à Pelé et à Ronaldo de connaître la gloire. Les éclats de jaune vif sous la lumière du soleil évoquent le rythme de la samba et l’esprit du carnaval. Pour les Brésiliens, l’enfiler signifie toujours porter de la musique, de la danse et des victoires inoubliables.

Pour les Celtics de Boston, le vert était indispensable; ils l’ont ensuite complété par le blanc. Pendant plus de 80 ans, la police à empattement gras et le schéma immuable ont porté des légendes comme Russell et Bird. Le minimalisme était ici synonyme de permanence et permettait aux fans d’identifier instantanément l’institution historique du basket-ball.

Les casques argentés captent les projecteurs du stade, les reflets métalliques rencontrent les bordures bleu marine. Depuis 1964, ce look a forgé l’identité des Cowboys, « l’équipe de l’Amérique », et le blanc de leur domicile domine leur calendrier, contrairement à la plupart des équipes. L’équipe est la plus regardée de la NFL et ce design annonce qu’elle est arrivée.

Dans les années 80, les Lakers de Los Angeles portaient des uniformes pourpre et or qui faisaient écho à l’éblouissement des plateaux de cinéma de Los Angeles. Les passes éblouissantes de Magic Johnson, les fadeaways féroces de Kobe et les dunks tonitruants de LeBron sont autant d’histoires cousues dans ces couleurs. Les vestes d’échauffement qu’ils portaient sont également devenues une tendance de la mode.

L’équipe de rugby de Nouvelle-Zélande porte une tenue entièrement noire avec une fougère argentée pressée près du cœur depuis sa tournée en Grande-Bretagne en 1905. L’uniforme lui-même est devenu un symbole sacré, aujourd’hui chéri comme un trésor de collection. Lorsque vous voyez ce maillot, vous pouvez presque entendre le haka, un rituel pratiqué par l’équipe.

Le dessin le plus ancien et le plus emblématique de la LNH, qui remonte à 1917, est écarlate et blanc, avec des bandes d’un bleu profond qui s’étendent sur la glace. Maurice Richard l’a rendu légendaire et Guy Lafleur l’a porté avec fierté. Les supporters l’ont baptisé « Habs » en référence aux Habitants. La littérature l’a également consacré: dans la célèbre nouvelle de Roch Carrier « Le chandail de hockey ».

Le surnom, les « Red Devils », n’a rien de farfelu, car la pluie rouge d’Old Trafford a déclenché des chants qui résonnent comme un coup de tonnerre depuis 1902. Ce maillot incomparable a été porté par des figures emblématiques, Best, Giggs, Ronald, tout en remplissant les rayons des magasins chaque année. L’édition 1999 de la Ligue des champions reste la plus chère de toutes.

Ombres noires, éclairs argentés, l’uniforme a frappé en 1963 et est resté. Il a forgé la Raider Nation pour représenter la dureté et la rébellion dans la culture de la NFL. Au-delà des terrains de football, N.W.A. en a fait une armure de rue en propageant la rébellion dans les clips musicaux, les clubs et les trottoirs des villes du monde entier.

Pour l’équipe de l’AC Milan, le rouge enflamme la passion, le noir évoque la peur, formant l’identité des Rossoneri de Milan depuis 1899. L’autorité de Paolo Maldini et l’élégance de Kaká ont vécu dans ces rayures. Les supporters ont adopté le surnom « d’équipe du diable » et ressentent depuis cette énergie dans tout San Siro.

Le maillot blanc avec son écriture bleue est arrivé en 1938 et a voyagé vers l’ouest en 1958, transportant le cœur des Dodgers de Brooklyn à Los Angeles. Le numéro 42 de Jackie Robinson s’est inscrit dans l’histoire, tandis que la casquette des Dodgers s’est transformée en un vêtement de ville que l’on voit encore aujourd’hui partout.

Depuis 1902, le kit blanc est un symbole d’élégance, ce qui lui a valu le surnom de « Los Blancos ». Le monde entier a été témoin de la vision de Zidane et du flair de Beckham dans cette tenue. Inspiré par les Corinthians de Londres, ce design a reflété la grâce pour devenir une toile brillante pour les moments les plus célèbres du football européen.

En 1926, l’équipe fait ses débuts avec un logo amérindien frappant, cousu en rouge et noir. Les fans l’ont vu s’élever au cours de six triomphes de la Coupe Stanley. Élu à plusieurs reprises comme le meilleur de la NHL, ce chandail allie héritage, art et souvenirs de championnat dans des couleurs vives.

Les pantalons dorés brillent comme les pépites de la ruée californienne de 1849, ajoutées en 1964 pour renforcer l’identité. Les passes de Joe Montana et les prises de Jerry Rice ont permis aux rouges et or de dominer. Aujourd’hui encore, les uniformes « throwback » restent des objets de collection très recherchés, que les collectionneurs sont prêts à payer au prix fort.

Le bleu et l’orange de ce maillot sont issus de l’héritage néerlandais, cousu en 1946. Des joueurs comme Patrick Ewing les portaient, Walt Frazier dégoulinait de charisme et Spike Lee a arboré le maillot sur le terrain dans les années 90, transformant le Madison Square Garden en un véritable défilé de mode.

Le tissu marron a enveloppé les légendes Richards et Lara lorsqu’elles ont dominé le cricket dans les années 1970 et 1980. Il symbolisait l’unité des îles, de la Jamaïque à la Trinité. Leurs kits éclatants ont également révolutionné la mode en transformant les tenues de cricket dans les années 1970.

L’uniforme à rayures des Chicago Cubs est apparu en 1957, après avoir été absent dans les années 1930, ce qui a donné une identité au quartier nord de Chicago. Le lierre de Wrigley Field, le bruit des battes et des décennies de loyauté ont donné naissance à ce look. La culture populaire l’a scellé lorsque Ferris Bueller l’a porté dans Ferris Bueller’s Day Off.

Inspiré des couleurs du drapeau de la ville de Pittsburgh, le noir et l’or ornent les Steelers depuis 1962. Le logo unilatéral du casque est devenu instantanément reconnaissable. Le rideau d’acier des années 1970 a construit une dynastie dans ces couleurs pour forger une loyauté aussi inébranlable que les usines sidérurgiques qui ont façonné la ville.

Les bandes bleu ciel du drapeau sont apparues pour la première fois en 1908 et se sont répandues sur les terrains du monde entier. Maradona les a immortalisées en 1986 avec la « Main de Dieu ». Ensuite, Messi les a portées vers la grandeur. Ce même maillot de 1986 porté par Maradona a ensuite atteint des sommes astronomiques lors de ventes aux enchères.