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Sophie Grégoire-Trudeau écrit un livre sur la santé mentale
Crédit: Cover Images

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Elle a aussi commenté la situation avec Lisa LaFlamme…

Sophie Grégoire-Trudeau a été plutôt discrète dans les derniers mois, mais la voici de retour.

Dans le cadre d’une entrevue donnée à TVA Nouvelles, elle explique que la pandémie n’a pas été facile pour elle, surtout en tant que femme du premier ministre du pays. En effet, c’est elle qui a dû garder le fort à la maison et s’occuper des enfants, et elle souligne qu’elle n’a jamais arrêté de travailler au cours des dernières années, sauf que ce travail est bénévole en quelque sorte. Ce n’est pas la première fois qu’une femme s’exprime sur la charge de travail réelle que représente le fait de s’occuper d’une maison, des enfants, du quotidien, etc.

Dernièrement, Sophie Grégoire-Trudeau travaille à l’écriture d’un livre sur la santé mentale. Ce sujet lui est très cher et elle s’implique énormément afin d’améliorer la santé mentale des Canadiennes et Canadiens, surtout les jeunes. Toujours très ouverte, elle explique avoir elle-même souffert de journées plus difficiles que d’autres.

«Je pense que si vous posez la question à toutes les personnes qui ont fait de la politique, c’est certain qu’il y a des journées plus faciles que d’autres. Nous sommes des êtres humains, mais c’est important de rester terre à terre à la maison. Je me rappelle souvent que, peu importe les projecteurs qui sont là, il faut rester ancré», exprime-t-elle.

Durant la même entrevue, elle aborde aussi un autre sujet qui lui tient à cœur: le féminisme et la place des femmes dans la société. Sophie Grégoire-Trudeau en a profité pour commenter deux sujets chauds de l’actualité, soit le congédiement précipité de Lisa LaFlamme ainsi que les sévères critiques à l’endroit de la Première ministre de la Finlande suite au partage d’images d’elle en train de danser et de faire la fête.

Dans le premier cas, Sophie Grégoire-Trudeau souhaite qu’on connaisse le fond de l’histoire sur les raisons du congédiement de Lisa LaFlamme et dans le deuxième cas, elle affirme que la vie privée d’une femme, peu importe qu’elle soit une personnalité publique ou non, lui appartient et ne devrait pas être une source de polémique si les actions posées le sont dans le respect d’autrui.

Elle partage d’ailleurs une interrogation des plus pertinentes: est-ce que le traitement de la situation aurait été le même si ça avait été un homme dans la même situation que la Première ministre de la Finlande?  

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