Je ne sais pas pour vous, mais j’ai remarqué que c’est lorsque je commençais à rire d’une situation merdique que tranquillement, je l’acceptais et me préparais à passer au travers. C’est donc officiel, je me suis finalement mise à rire un peu de quelques situations cocasses liées au confinement, puis je voulais vous les partager pour (peut-être) vous faire sourire un peu, vous aussi.
Pour la première fois de ma vie, je me suis demandé si 3 pyjamas, c’est suffisant.
Je me suis aussi demandé comment je fais pour salir, à moi toute seule, 5 tasses et 3 verres dans une même journée.
Je me suis ravisée d’acheter des collants plus légers pour le début du printemps puisque je pourrai probablement sortir jambes nues à la fin du confinement.
Sur une note plus cynique, je me suis demandé si c’était nécessaire d’acheter du linge d’été à mon fils… j’ai finalement passé la commande. L’avenir me dira si j’ai eu tort!
Je me suis demandé si j’allais tenir tout le confinement sans couper les cheveux de mon fils qui était dû pour une visite chez le coiffeur bien avant la fermeture des salons. J’ai finalement coupé un peu devant et son père n’a rien remarqué; j’en conclus (certainement à tort) que j’ai assuré!
Toujours rapport avec les cheveux : je me suis demandé si tous ces tutoriels en ligne pour rafraîchir soi-même sa frange partaient « vraiment » d’une bonne attention. #ThéorieDuComplot
Ayant plus de temps à tuer, je lis davantage les emballages : je me suis aperçue que j’utilisais du bain moussant pour remplir le distributeur de savon pour les mains et du nettoyant pour les sols pour nettoyer la baignoire. Depuis un bon moment, d’ailleurs. Oups.
J’ai réalisé que cette dernière année à travailler dans un bureau à aire ouverte parfois très bruyant m’avait préparée au télétravail avec (simultanément) un enfant de 6 ans dans la même pièce et la voisine du dessus qui saute à la corde.