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3 petits trucs simples pour manger végé un peu, beaucoup ou passionnément
Crédit: Unsplash

Lorsqu’on décide de devenir végétarien (ou, du moins, de réduire sa consommation de viande), ce n’est pas toujours aisé de savoir comment s’y prendre sans trop se casser la tête et surtout, sans se mettre trop de pression. Heureusement, il existe à votre disposition plusieurs trucs et astuces pour faciliter votre transition de régime omnivore à végétarien/ flexitarien.

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Je vous en propose aujourd’hui trois qui m’ont personnellement beaucoup aidée dans mon cheminement.

 

1. Faire une exception au resto

Tout d’abord, une action concrète à mettre en place est que vous pouvez décider de cuisiner végétarien à 100% chez vous, mais de vous permettre de manger de la viande lors de soupers au restaurant ou lors des repas avec des amis ou de la famille. Ainsi, on apprivoise peu à peu cette nouvelle façon de cuisiner et on n’appréhende pas ce genre d’événements (qui s’avèrent parfois un brin anxiogène au début) .

 

2. Modifier nos recettes préférées

Il est aussi possible de substituer la viande de nos recettes habituelles. Par exemple, au lieu d’utiliser du boeuf haché en réalisant son pâté chinois hebdomadaire, on fait un tour à l’épicerie en vrac du coin et on se procure de la PVT (Protéine Végétale Texturée). Le résultat est bluffant, et, cerise sur le sundae, on économise! Le tempeh, le très populaire tofu, les légumineuses, le végépâté et j’en passe, sont toutes de très bonnes options lorsque vient le temps de substituer. 

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3. S’outiller en végé

Se procurer un livre de recettes végétariennes. Bon, cette astuce peut sembler évidente, mais c’est personnellement une idée à laquelle je n’avais pas du tout pensé à mes débuts en tant qu’ex-omnivore. Cela permet de réaliser qu’être végétarien, ce n’est pas se priver et cela règle du même coup les longues réflexions infructueuses à la sempiternelle question: « Qu’est-ce que je peux bien manger ce soir? ».

 

 

Finalement, le plus important est de se rappeler qu’il est inutile de se mettre de la pression et que chacun avance à son rythme, selon ses contraintes personnelles. De plus, un « écart de conduite » face au régime alimentaire que l’on souhaite adopter n’est pas un échec; il ne faut se décourager au moindre obstacle. L’important, c’est de continuer de se renseigner et de cheminer à son rythme!

Une multitude d’autres trucs du même genre existent, et plus le temps passera, plus vous serez en mesure d’en développer par vous-même et de faciliter la transition. Vos amis et votre famille qui adoptent déjà ce mode de vie sont aussi une bonne source de conseils, n’hésitez pas à leur en demander!

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