Aller au contenu
Ma fausse bonne idée de l’été : des vacances début juin!
Crédit: chuttersnap/Unsplash

Et voilà, nous y sommes, c’est la rentrée! La semaine a commencé en douceur avec la Fête du Travail mais les choses vont s’accélérer, et vite, puis je ne suis pas prête… Et je mets cette désagréable impression sur le dos de ma fausse bonne idée de l’été : avoir pris 2 semaines de vacances début juin. Même si je suis bien contente d’avoir pu prendre une quinzaine de jours off et en plus d’avoir pu voyager, hein!

Évidemment, cela me semblait une vraie bonne idée au départ : partir en décalé, c’est-à-dire en dehors des mois de juillet et août, m’a permis de bénéficier de tarifs plus avantageux pour voyager et d’éviter la foule de touristes. En plus, je suis partie à un moment de l’année où la météo estivale n’est pas encore bien installée à Montréal, donc je profitais de la belle météo ailleurs et je revenais à Montréal, une fois que l’été était bien installé, yeah! Dernière chose, partir pendant que les autres travaillaient ‘’vraiment’’ (genre supposément plus fort qu’en juillet ou août), et donc à un moment où j’aurais moi-même vraiment travaillé, et bien c’était bon pour mon moral!

Giphy

Sauf que ce que je n’avais pas intégré dans mon plan de génie, c’était que j’allais devoir travailler plus fort avant de partir pour compenser mon absence et puis… plus fort en rentrant aussi, tant qu’à y être. Et oui, bad luck: de gros dossiers sont tombés début juin (ça m’apprendra à écœurer les autres avec mes projets de farniente pendant qu’ils.elles doivent travailler fort!!). Autre imprévu : dans mon secteur, on a eu des mois de juillet et d’août de folie donc peu d’occasions de profiter de plus longues pauses café ou lunch, ou encore de partir un peu avant l’heure pour avoir une bonne place en terrasse, argh…

Et donc, voilà, nous y sommes, c’est la rentrée! Je fais mon petit bilan de l’été et je me dis que mes vacances étaient bonnes mais sont déjà beaucoup trop loin, que je fais ma rentrée fatiguée et que je vais me traîner jusqu’aux vacances de Noël! Mais à y réfléchir, je ne pouvais pas prévoir la charge de travail au bureau cet été et puis bien que je chiale (mon petit côté français), allez savoir, cela se pourrait bien que je refasse le pari de partir les 2 premières de juin, l’année prochaine (mon petit côté joueur!).

Plus de contenu