Aller au contenu
5 bonnes raisons de regarder Scream Queens
Crédit: Scream Queens/Facebook

Dans la vie, un de mes plaisirs est de faire croire à mon entourage que j’ai une vie sociale. Révélation choc : C’EST FAUX. Bon, d’accord, j’ai quand même une bonne gang, mais disons que j’apprécie beaucoup mes moments de solitude avec mes cinq doudous en minou, mon onesie, mon popcorn et mon Netflix (#GrandMèreAssumée). Samedi soir, j’ai toute choké pour rester au chaud et terminer la série Scream Queens, récemment arrivée sur Netflix.

Scream Queens raconte l’arrivée de Grace Gardener à l’Université Wallace, où elle souhaite joindre la sororité Kappa Kappa Tau, de laquelle sa mère faisait partie vingt ans plus tôt, dans le but de se rapprocher de celle-ci. La sororité est dirigée par Chanel Oberlin, une jeune riche superficielle et autoritaire, et ses minions, surnommées Chanel numéro 2, Chanel numéro 3, Chanel numéro 4 et Chanel numéro 5. Lors de la soirée de recrutement de la Kappa Kappa Tau, un tueur déguisé en mascotte assassine une des participantes. S’en suit alors une série de meurtres qui pourraient bien être liés à un événement tragique s’étant passé en 1995, durant une soirée de la Kappa Kappa Tau.

À première vue, le synopsis semble correct, mais pas extraordinaire. Bon, on s’entend que la série n'invente rien, mais je me suis tout de même lancée, un peu à reculons, et j’ai finalement beaucoup apprécié la série, tellement que je me la suis claquée en trois jours (allô, le déni de fin de session). Voici donc cinq bonnes raisons de regarder Scream Queens :

1. Les costumes
Une des choses que j’aime le plus du domaine cinématographique, c’est les costumes. Je ne pourrai jamais me payer les vêtements de la fashionista Chanel Oberlin et, de toute façon, je doute que ce soit vraiment mon style, mais j’ai eu beaucoup de plaisir à porter attention aux mélanges de textures dans les outfits de Chanel.


Crédit : Giphy

 
2. L’intrigue
C’est ce qui, selon moi, fait la profondeur de la série. Lorsque je regarde des séries où il y a une intrigue, je devine habituellement après quelques épisodes la solution au problème proposé. C’est fatiguant. Cette fois-ci, j’avais quelques pistes, mais elles étaient si souvent brouillées par de petits détails que j’avais sérieusement quelques doutes (bon, à la fin, j’avais quand même raison).


Crédit : Giphy

 
3. Les références à d’autres films d’horreur
Si vous aimez ce genre qu’est le film d’horreur, vous remarquerez certainement dans cette série de multiples références à plusieurs films d’horreur classiques. Puis, moi, de les remarquer, ça remonte mon estime. Les références permettent aussi d’enrichir le synopsis, de jouer avec nos attentes et de créer quelques moments cocasses.


Crédit : Giphy

 

4. Décrocher
Ce n’est pas une série difficile à suivre ni une série qui fait particulièrement peur. Je la classerais dans ce que j’appelle le « fast food cinématographique » et, comme une grosse poutine, la série n’est pas un chef-d’œuvre, mais elle est réconfortante, agréable et permet vraiment de décrocher. Ça fait vraiment du bien, une fois de temps en temps.


Crédit : Giphy

5. L’omniprésence du Girl Power
Alors que j’en ai marre de ne voir que des hommes avoir les rôles importants à la télé, Scream Queens présente une distribution majoritairement féminine, et c’est rafraîchissant de voir des femmes n’avoir besoin de personne d’autre pour se sortir de l’embarras et se défendre contre les méchants. D’accord, elles sont un peu nunuches et caricaturées, mais ça fait partie du ton ironique de la série et, surtout, on se rend bien vite compte que c’est un peu pour briser les stéréotypes qu’ils ont été utilisés. Ce n’est pas parfait, mais c’est mieux que rien!


Crédit : Giphy

Avez-vous déjà écouté Scream Queens? Que pensez-vous de la série?

Plus de contenu