Peu importe où je me trouve, quoi que je fasse, je ne me sens pas à ma place. Je n’ai jamais eu de réel sentiment d’appartenance. Est-ce dû au fait que j’ai souvent changé d’école dans ma jeunesse ? Peut-être. Il faudrait demander à Freud sa vision de ce traumatisme.
Ceux qui me connaissent seraient surpris par ce texte parce que je ne démontre pas de manque de confiance en moi vu ma GROSSE personnalité qui paradoxalement peut en déranger plusieurs. Mais derrière cette façade de brique, se cache un grand besoin de valorisation. La seule affaire, c’est qu’à l’âge adulte, les gens sont beaucoup plus enclins à dénigrer qu’à valoriser. Il y a des festivités pour une semaine quand le p’tit pisse dans le pot, mais c’est tough de donner une p’tite tape dans le dos quand l’adulte fait un bon coup.