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Le pole fitness : une nouvelle façon de s’entraîner
Crédit: Elips7/Instagram

Ça fait quelques mois que je pratique un sport qui sort de l’ordinaire. C’est une activité qui est devenue une passion pour moi et je me dois de vous la partager. Bref, je fais du pole fitness. Le pole fitness, ce n'est pas une danse de bar. C’est un art qui s’apparente au cirque. J'associe le pole à la recherche de l'élégance, au lâcher-prise et à l'acceptation de soi et de son corps.
 
J’ai commencé à faire du pole fitness pour me prendre en main et bouger un peu. J'ai toujours eu de la difficulté à persévérer au gym. Je ne trouvais jamais le temps d'y aller et je me trouvais toujours une excuse, car je n'avais jamais de motivation. Je n'aimais pas vraiment ça. En essayant le pole fitness, ça a été le coup de foudre, car je n’ai pas l’impression de m’entraîner.

Premièrement, faire du pole fitness, c’est apprendre à se faire confiance. C’est apprendre à affronter ses peurs et à oser se laisser tomber dans une figure à 9 pieds du sol. C’est se dire « j’ai réussi ». C’est apprendre à s’aimer un peu plus chaque jour. C’est donc une belle manière de développer sa confiance et son estime de soi.
 
Ce que j’aime du pole fitness, c’est qu’on n’a pas à soulever de poids et à faire des séries de répétitions pour gagner de la force. On devient plus forte des bras, des épaules, du dos, des abdominaux, name it, car on soulève notre propre poids à chaque mouvement. Tout se fait plus naturellement.
 
De plus, le pole fitness fait prendre conscience de sa posture et de l’espace que le corps occupe. Ma posture s’est grandement améliorée, je me tiens plus droite et je dégage mes épaules. Babaille, les maux de dos!
 
Faire du pole fitness, c’est constamment rechercher de nouvelles chansons à ajouter à sa playlist. C’est aussi développer une dépendance aux beaux soutiens-gorge sport, aux shorts de yoga et aux leggings colorés.

 

Crédit : MikaYogaWear

 
C’est une activité vraiment exaltante et il y a de plus en plus d’endroits au Québec qui offrent des cours (Trois-Rivières, Montréal, Verdun, Saint-Eustache, etc.). Généralement, les salles de classe peuvent accueillir une dizaine d’étudiants par cours. Ça permet une belle proximité avec les enseignants. Ils sont disponibles pour donner des conseils et il ne faut pas hésiter à leur demander de l’aide si un mouvement fonctionne moins bien pour vous.
 
De votre côté, faites-vous un sport qui sort de l’ordinaire?

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