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Des trucs pour survivre à l’hiver dans les transports en commun!
Crédit: Marie-Eve Tougas

Je dois avouer que je suis une personne douillette de nature, qui n'aime pas être bousculée dans sa routine. Preuve à l’appui : je trouve toujours des excuses pour utiliser ma voiture dans mes déplacements, même quand j’habitais à Montréal et que le métro était une option.

Quand mon emploi a déménagé dans le Mile-Ex, il y a quelques semaines, j’ai eu deux choix : soit prendre l’auto, dépenser en gaz et stationnement ET endurer le trafic matin et soir OU utiliser les transports en commun afin d’éviter les bouchons et de réduire les coûts reliés à ma voiture. Ma conscience écologique a pris le dessus et je me suis rendu compte que mon confort ne valait pas tout le gossage que conduire me faisait subir. Je vous laisse donc deviner quelle a été ma décision…!
 
Il y a longtemps que je n’avais pas fait de ride bus/métro à partir de la Rive-Sud. J’ai donc fouillé dans ma mémoire infinie (lololol) et fait appel à tous mes anciens trucs de survie dans les transports en commun pour arriver à destination sans avoir l’air d’un hot mess.
 

Naya fans herself
Crédit : the [best]] daze ever/Tumblr

 
1. Le layering (un classique!)
C’est vraiment le truc ultime, no joke. Si j’ai le malheur de m’habiller trop chaudement une journée, je finis toujours par le regretter. Comme Camille, j’ai un manteau suffisamment chaud, mais qui n’est pas considéré comme un manteau d'hiver. Je le superpose à des vêtements de différentes épaisseurs en fonction de la température ou du temps passé à l’extérieur. Je n'hésite pas à enfiler des leggings par-dessus mes collants, que j'enlève une fois rendue au travail. Si vous devez attendre l'autobus pendant un moment, je vous conseille fortement cette option!
 
2. Adapter ses bottes à la température
Qui n’a pas déjà sué sa vie dans le métro à cause de bottes trop chaudes, pour ensuite se geler les orteils à cause de toute cette humidité? J’ai trois paires que je porte en rotation pendant la saison froide : une paire de Sorel, des bottes mi-mollet lacées en faux cuir et des bottillons courts. Je choisis ma paire en fonction du froid, du temps passé à l’extérieur et du niveau de neige au sol ou annoncé pour la journée.

Finalement, si la marche est une activité importante ce jour-là, je vais privilégier le confort de mes pieds over la chaleur, mais compenser avec des matières qui gardent mes pieds au sec (prochain point!).
 

Layers pour transport en commun
Crédit : Marie-Eve Tougas via Polyvore

 
3. Des matières qui respirent
Dans le passé, Carolane avait déjà expliqué les propriétés des fibres naturelles et synthétiques. Je ne jure personnellement que par la laine, que je choisis pour les extrémités et accessoires hivernaux : tuque, mitaines, foulards et BAS. En plus, vous pouvez même mettre votre côté DIY à l'épreuve et les tricoter vous-mêmes! Ça a aussi le mérite de sécher rapidement quand la neige se met de la partie et ça me garde au chaud les journées où il fait vraiment froid.
 

lainages maisons
Mes petites laines. Ma mère a tricoté le foulard bleu et blanc du bas, et moi, l'orangé.
Crédit : Marie-Eve Tougas

 
4. Réduire son bagage
C’est probablement le truc le plus dur à mettre en pratique et que j’ai le plus de difficulté à appliquer, car j’ai tendance à toujours mettre trop de choses dans ma sacoche/sac à bandoulière. Mais grâce aux conseils de Caroline sur comment se choisir un sac à dos pour le travail, je vais bientôt pouvoir donner un break à mon dos!

Quels sont vos trucs à partager sur votre habillement pour survivre aux transports en commun?

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