Inspiration Masters of Sex : 3 looks de la série sur lesquels vous allez swooner

Basée sur des faits réels, la série Masters of Sex raconte les recherches du Docteur William (Bill) Masters sur les réactions biologiques du comportement sexuel humain. Son étude est conduite vers la fin des années 50, c’est-à-dire quand les désirs de la femme et le sexe en général étaient très tabous.

Ce qui est intrigant, au début de la première saison, c’est de voir à quel point le besoin de contrôle de Bill l’empêche de créer l’intimité essentielle à des relations sexuelles plaisantes. Étant un scientifique, il cherche à savoir comment fonctionne l’orgasme plutôt que de s’interroger à ce qui amène les gens à l’atteindre, aka la chimie sexuelle.

Entre alors dans sa vie Virginia Johnson, une mère de deux enfants divorcée, ambitieuse et qui n’a pas peur de ce qu’elle veut au lit ou dans d’autres sphères de sa vie. Une femme moderne, quoi (lololol). Ensemble, ils forment un duo assez particulier, mais redoutablement efficace pour faire avancer les recherches de Bill.

Les années 50 sont une période franchement très intéressante au niveau des vêtements. Je dois avouer qu’une partie du plaisir à regarder Masters of Sex vient des costumes qui sont ~~fucking~~ parfaits. Oui, il y a beaucoup de tout nu, mais les artisans de la série se sont arrangés pour garder ça attrayant même quand tout le monde est habillé, HA!

Libby Masters
C’est l’épouse de Bill Masters. Femme au foyer, elle tente désespérément d’avoir un enfant. Elle est traitée par son mari qui, à la base, est un spécialiste en fertilité. Elle a donc le style des femmes au foyer de l’époque et est relativement conservatrice. Quoi qu’on sent qu’elle a envie que ses rapports sexuels avec son mari soient plus que de « l’insémination ».

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Virginia Johnson
C’est l’assistante de recherche de Bill. Elle prend leurs recherches très au sérieux et se sent à sa place même si #lesgens autour n’apprécient pas la confiance que lui accorde Bill. Si elle était encore vivante, c’est clair qu’elle ferait partie de la gang de TPL.

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Jane Martin
C’est le premier sujet de recherche qui accepte de venir en laboratoire afin que le duo observe et récolte les données issues de ses ébats en solo ou avec partenaire. Mettons qu’elle est game, la fille! Tout ça au nom de la science. FOU!