Il y a des choses dans la vie qui me définissent plutôt bien, mais dont je suis peu fière. Comme manger du Nutella tous les matins pendant un an, ou encore acheter le dernier best-seller de littérature jeunesse en cachette. Mieux encore : tripper ben raide sur Iggy Azalea. À défaut d’avoir eu une adolescence ben wild, j’ai toujours eu un penchant pour le rap et les bad chicks. Vivre dangereusement … par procuration, évidemment.
Il y a quelque chose qui me plaît dans l’esthétisme badass de la belle. Ses origines australiennes combinées à son style de jeune rappeuse de la côte Est américaine lui donnent un look à la fois urbain et sophistiqué. Elle est débarquée à 16 ans à Miami et a, aujourd’hui, réussi à se tailler une place de choix dans le rap game aux États-Unis. Comme elle dit si bien dans la chanson Work : « No money, no family, sixteen in the middle of Miami ».
Le meilleur de son swag en rafale :
Au final, cette fille a tout pour elle… sa face + son booty, dah!
Qui ne voudrait pas d’Iggy comme amie, prête à kicker des ass?