5 looks pour 5 films à la Berlinale

En ce moment à Berlin, tout le monde ne parle que de la Berlinale, l’équivalent allemand du festival de Cannes, avec une compétition officielle et des projections de centaines de courts et longs métrages. C’est un événement  majeur de l’industrie du cinéma et ça se passe right now! Ma demi-sœur (en visite, yay!) et moi avons déjà des billets pour quelques projections, dont celle du film de Denis Côté, réalisateur québécois ayant remporté le prestigieux Ours d’argent l’an dernier pour son film Vic + Flo ont vu un ours.

Je ne vous conterai pas de pipes, je vais sans doute m’habiller tout croche de façon décontractée pour y aller, mais mon imagination débordante a quand même le goût de s’exprimer et de penser à des tenues inspirées de films de Berlinale 2014.

Finding Vivian Maier
Le film en 1 phrase : Le réalisateur John Maloof, après avoir découvert de milliers de photos et vidéos immortalisant des scènes de la vie quotidienne de l'Amérique du 20e siècle, nous entraîne sur la piste de la mystérieuse auteure de ces œuvres, Vivian Maier.

Le look en 1 phrase : Il évoque l'époque des années 50, où prend racine l'oeuvre de Vivian.

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Grand Budapest Hotel
Le film en 1 phrase : Le concierge d’un grand hôtel et son BFF le lobby-boy se retrouvent au coeur d’une histoire à coucher dehors impliquant un meurtre, des mensonges, une chasse à l’homme et des personnages weirdos.

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Aloft
Le film en 1 phrase : Au fin fond du fin fond, une mère et ses deux enfants – dont une souffrant d’une maladie dégénérative – se retrouvent séparés les uns des autres par une tragédie jusqu’à ce que, des années plus tard, le fils aîné tente de retrouver sa mère semi chamane.

Le look en 1 phrase : Il doit faire froid, dans le fin fond du fin fond, et j’y imagine une odeur de cynisme et de no-future.

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Free Range
Le film en 1 phrase : Un critique de cinéma perd son emploi et son premier manuscrit la même journée où il apprend qu’il deviendra père, ce qui le propulse dans une crise existentielle sur fond de mélancolie estonienne.

Le look en 1 phrase : Jeune artiste qui vit un grand questionnement intérieur, mais vêtue comme de raison de son uniforme hipster.

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Que ta joie demeure
Le film en 1 phrase : Euh…  ben c’est comme une ode, en images et en émotions, au travail humain, derrière les machines ou simplement le travail du corps. (C’est un film-essai, qu’y disent. Conceptuel. Ouain.)

Le look en 1 phrase : Ben c’est une ode, en linge pratique, au travail humain.

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Je ne sais pas si je réussirai à voir tous ces films – il y en a des dizaines d’autres qui me parlent – mais je suis excitée à l’idée de profiter de la Berlinale pour la première fois. Est-ce que vous aimez ça, les festivals de films? Vous mettez-vous chic pour y aller?