Pour nous récompenser, après des semaines de travail complètement crazy, mon boss nous a appris lundi dernier qu’on partirait pour Hambourg durant 2 jours le jeudi suivant. Wa-hoo!
8h15, jeudi matin. Mon équipe et moi sommes assis dans notre cabine de train, armés de croissants et de magazines. Le but : s’inspirer de pubs et des campagnes dans des publications design, mode et autres GQ et Cosmo.
Nous arrivons à Hambourg vers 10h30 et débutons notre périple. Ma startup vient de lancer une app' de partage et de recommandations (de restos, bars, clubs, cafés, boutiques, etc.) et c’est ce qui a inspiré notre périple dans le Nord. Nous avons visité la deuxième plus grande ville allemande (et plus grand port du pays) en mode rallye : 14 établissements en 36 heures. Et ai-je mentionné que c’était su’l bras? Ja, man!
J’ai réalisé à quel point Berlin vit dans une bulle de je-travaille-dans-une-startup. Il n’y a pas de casual Friday, à Berlin. Il y a un casual tout court. Pis ma main au feu que les 8 ou 9 hipsters du coin étaient des expatriés berlinois.
Je vous laisse sur des images de Hambourg, plus huppée que Berlin et dont Wikipedia fait dire qu’elle compte plus de ponts que Londres, Venise et Amsterdam combinées. Oui, c’est un peu humide. J’ai mangé un morceau du meilleur agneau ever, j’ai goûté la purée de patate douce la plus yolo de l’univers et j’ai battu mon record personnel de Moscow Mule. Pis j'ai essayé de convaincre mon boss d'aller dans un karaoké à 3 heures du matin…
La gare centrale de Hambourg
Le métro semi Stanley Kubrick, comme le faisait remarquer mon collègue.
Un petit café super tranquille avec un super chai latte et…
… d'incroyables macarons!
Hambourg et ses canaux.
Resto-bar, on sait pas trop – décor de salle de gymnastique, mais surtout, bon choix de cocktails.
Danger, danger, danger.
Le Golden Pudel, club près du port.
Et mes tagliatelles aux champignons sauvages. À se pitcher dans les airs en riant, comme dans Mary Poppins.
Est-ce que je vous donne le goût d'aller à Hambourg?