Blame it on mes cours en histoire de l'art cette session-ci, mais j'ai attrapé un virus. Un virus un peu moins viral (lol) que le fameux HARLEM SHAKE (que les gens d'Harlem n'approuvent pas pantoute, ha!), mais pas mal viral quand même.
Jean-Michel Basquiat était un grand chum d'Andy Warhol et une figure de proue dans l'univers du graffiti à New York dans les années '70. Il est notamment reconnu pour ses oeuvres « primitives », représentant des images plus ou moins abstraites avec des dessins de style gribouilli – un gribouilli bien pensé, mettons. Tout était dans le concept ET dans la représentation (c'est ma prof qui le dit). Pour ceux que ça intéresse, il y a ce documentaire-ci qui relate tout son parcours, son oeuvre et son influence sur la scène artistique de l'époque. Ça vaut le détour!
Bref, même s'il est mort, son influence se fait encore ressentir dans plusieurs styles aujourd'hui, autant en art que dans la mode.
+ 1 pour le coat ET la robe qui rappellent plusieurs motifs propres à Basquiat.
Le Basquiat des temps modernes – tout est dans la coupe de cheveux! Déniché sur Broadway à New York, évidemment.
Le mot d'ordre : DOSAGE.
J'en suis la preuve vivante : il est beaucoup TROP facile de se perdre dans l'univers des motifs. L'idéal, c'est d'y aller vers des pièces plus épurées!
Détail du montage ICI.