La trashitude du blogue Terry Richardson?s Diary

La nuit dernière, j’ai atterri dans un appartement trop joli au coin de Rachel et Saint-Denis.

Lorsque j’ai aperçu un collage de Terry Richardson dans la salle de bain, j’ai pouffé de rire. Quoi de plus hilarant qu’un homemade collage (réalisé en 2006 pour un projet d’école) de photographies trash, qui plus est représentant des people déchirés?!

Après quelques minutes, je me suis questionnée sur le degré d’hilarité des photographies en face de moi. Quelle est donc l’importance de ces mises en scène et l’influence de ces images sur la société? Est-ce que les mannequins underground sont payés pour poser? Prennent-ils plaisir à projeter leur trashitude sur les Internet ?

Les clichés de Terry Richardson réfléchissent ses troubles psychiatriques qui l’ont mené à un amalgame de sexe, drogues et désordre mental. Telle est toutefois sa sa signature, lui apportant ainsi un grand succès.

Alors, on vous demande, Terry Richardson’s Diary, ça passe ou ça casse ? Est-ce qu’on s’éclate la rate quelques minutes ou on préfère juger les valeurs du créateur ?