Quatre jours chez les cowboys et je reviens au Québec en chantant « Save a horse, ride a cowboy »
Andréane DuboisÀ minuit trente, hier soir, j’atterrissais à Montréal avec mes bottes de cowboy. Je venais de passer 4 petits jours de bonheur à Calgary, la ville rodéo. Reconnu comme LE plus grand spectacle extérieur au Canada, le Stampede de Calgary fêtait ses 100 ans… Pas besoin de vous dire que des cowboys, il y en avait à la messe!
Question de ne pas trop attirer l’attention, j’ai enfilé des bottes western (merci Rebecca chou!), appris quelques danses en ligne ainsi que les grands classiques country (mon répertoire musical se limitait à Blue Rodeo et Tim McGraw). Deux heures après avoir mis les pieds sur le site, je me surprenais déjà à chanter Ride a horse, Save a cowboy de Big & Rich avec mes nouveaux amis.
On s’entend que le Stampede est reconnu pour les concerts, les compétitions agricoles, les rodéos et surtout l’abus d’alcool chez les jeunes. Dude, ce festival-là, il est pas mal plus wild que tu penses… Imagine 180 000 personnes vêtues de chapeaux de paille, de chemises carreautées, de bottes western et de ceinturons : PRICE-fucking-LESS !
Mais comme dans tout grand festival, il y a des flops et des succès. Côté vestimentaire, je suis loin d’être une experte en streetsyling, mais j’ai tout de même déniché quelques « classiques » du Stampede.
Premier classique : les filles qui veulent trop en montrer (WRONG)!
Deuxième classique : le gars extrêmement chaud dans un bar western.
Troisième classique : des filles qui portent des belles shorts en jeans!
Quatrième classique : un vrai du Stampede qui conduit une décapotable rose munie d’une corne à l’avant.
Personnellement, j’ai un peu triché avec mes habits westerns… Ça donne ce que ça donne : une fille de Montréal, wannabe cowgirl!