Moi, je crois au 6 degrés de séparation.
Ha! Mais c’est surement moins intense que vous pensez. Par exemple : Tina Karr, l’auteure du livre qui est le sujet de ce billet, est la maman d’une fille avec qui je suis allée à l’école. Quand je l’ai réalisé, j’ai trouvé cela beeen beeen le fun, du moins, assez pour vous en parler!
M’enfin, j’ai reçu L’Art de porter des talons hauts en cadeau et je l’ai lu au Havre-Saint-Pierre. D’un seul bloc! J’ai aimé les informations qu’elle nous livre et j’ai très hâte de tester tous les trucs qui pourront améliorer ma démarche. Dès qu’un talon est trop haut (et j’ai tendance à les trouver si beaux, ça va ensemble), je deviens très laide/maladroite et j’ai mal aux pieds pendant des heures.
Le livre commence doucement en parlant de la confiance en soi et de l’histoire du talon haut, pour ensuite y aller de quelques trucs faciles pour dénicher une bonne paire! On continue avec un passage sur le principe de la verticalité et des douleurs qui sont causées par une mauvaise posture/démarche/choix de chaussure, avec en prime des exercices à pratiquer pour mieux assumer son talon! Le tout se conclut par un chapitre plutôt général sur l’art d’être une femme et etc.
Et tout ça se lit très rapidement, sans détour! Sans être vide de substance (au contraire), on sent que madame Karr possède tout un bagage de connaissances sur la vie, l’esprit et le corps humain MAIS qu’elle se passionne follement pour le talon haut, d’où l’idée d’écrire un livre sur le sujet. À ce sujet, son parcours est tout autant intéressant : tout au long des années, elle a pratiqué plusieurs formes d’art corporel (ballet, danse, théâtre, mime, name it) pour ensuite se spécialiser avec un diplôme de 3e cycle en management. Ça semble d’un coup tout naturel qu’elle parte une entreprise où le corps est le sujet à l’honneur…
L’art de porter les talons hauts est disponible aux éditions Béliveau pour 36,95$. Un investissement de 250 pages qui vaut la peine si on souhaite arrêter de se fouler les chevilles!