Donc c’est l’hiver. Pour vrai. Mardi en me réveillant, j’ai comme été frappée par cette dure (ou pas) réalité. Les orteils qui gèlent, les doigts sur le bord de tomber, les oreilles qui rivalisent dangereusement avec la famille/chromatique des tomates, le nez qui coule, les lèvres qui gercent. Pas que je n’aime pas l’hiver, au contraire. C’est toujours amusant d’attendre, scotché à ta fenêtre, les premiers flocons de neige. Sauf que quand tu n’es pas préparé, ça fait mal. Trop vite, trop trompeur, trop de neige, trop de froid en même temps, et paf. Ça te tombe dessus. Mardi, je n’étais donc pas préparée. J’ai eu froid.
D’expérience, c’est toujours la partie supérieure qui écope: la tête. L’arme secrète dans ce cas réside dans un bout de tissu d’apparence banale mais si pratique: la tuque en laine.
Quand tu as passé la majeure partie de ton enfance dans un pays chaud et que tu débarques du jour au lendemain dans un pays oú le froid est roi, c’est un peu comme ton sauveur, ton porte-bonheur, ton nouveau BFF. D’un autre côté, quand tu as passé la majeure partie de ton enfance dans un pays nordique/occidental/proche du pôle Nord, c’est un peu comme un vieil ami.
En plus d’être un élément réconfort, souvent doux, pratique en hiver, il fait rarement ombrage aux tenues. Au contraire, il les rend souvent plus friendly (vrai!).
L’étudiante qui a compris la vie:
La soft witch:
La fan assumée de Winston:
Pour les plus audacieux-aventureux-cuties, il existe également les versions d’inspiration animale:
On est maintenant tous prêts à ressortir nos talents en ski. (ou dans mon cas, la non-existence de talent en ski).
N’oubliez pas vos one-pieces!
Je pense que tout ça me réconcilie un peu avec l’hiver cette année.