On jase: Les comportements de consommation de la rentrée.
C’est peut-être parce que j’ai vieilli, mais depuis que je suis à l’université, on dirait que le magasinage de la rentrée me tente de moins en moins. Je ne me casse plus la tête à savoir quest-ce que je vais porter pour mes premiers cours. En fait, je raterai le début de ma session puisque je vais à NYC assister à une conférence sur les blogues de mode.
Plus tôt cette semaine, Visa Canada nous a contacté en nous faisant part dune étude sur la consommation des Canadiens lors du retour en classe et cela ma permis dapprendre plein daffaires. Jai eu envie de partager ces informations et de jaser avec vous sur ma vision des choses. Avec la méthode suivante, où je commenterai les points les plus pertinents et poserai quelques questions, vous pourrez me répondre et me dire si je suis dans le champ ou pas.
- Jusqu’à la Fête du travail, les Canadiens prévoient dépenser en moyenne 240 $ pour les achats en ligne en lien avec la rentrée scolaire.
- En combinant les achats en ligne et les achats en magasin, on estime que les Canadiens dépenseront en moyenne 403,89 $ durant cette période.
- Un peu plus de la moitié (54 %) des consommateurs mentionnent que les prix inférieurs les incitent à magasiner en ligne plutôt quen magasin.
- Les hommes sont plus susceptibles de magasiner en ligne pour la rentrée scolaire, atteignant des dépenses moyennes de 280 $, comparativement à 196 $ en moyenne pour les femmes.
- Au total cette année, les hommes prévoient dépenser 451 $ en moyenne pour des achats associés à la rentrée scolaire, comparativement à 353 $ du côté des femmes.
- Les consommateurs de la rentrée scolaire indiquent deux principales raisons pour lesquelles ils naiment pas faire leurs achats en magasin les foules et les dépenses (58 %, combiné)
- Les vêtements sont considérés comme lélément le plus important lors des achats de la rentrée scolaire (43 %), tandis que les livres (24 %), les stylos et les crayons (17 %), ainsi que les ordinateurs et articles connexes (17 %) sont jugés comme étant moins importants pour les consommateurs.