Découverte (pas vraiment): LUSH

Les meilleurs onguents sont dans les petits pots à ce qu’on dit. J’aurais tendance à croire que cela s’applique quelques fois aux entreprises. Une compagnie qui croît mondialement perd de facto son âme. Cette réflexion est-elle résultante de mes lectures marxistes assidûes et mon port de macramé au CÉGEP? Probablement. Voilà pourquoi j’ai eu tendance à m’orienter vers des solutions DIY ou mises en oeuvre par de petites entreprises dans cette quête de bio-équitable-pis-toute.

Toutefois, dans toute cette orthodoxie, j’ai un dada full capitaliste qui se nomme LUSH. J’aime croire que LUSH est un gentil citoyen corporatif. La compagnie, née dans les nineties au UK, est reconnue pour ses produits entièrement naturels et horriblement décadents. Genre, à s’en rouler par terre. L’entreprise est également reconnue pour son engagement envers la faune et la flore. Outre le packaging minimaliste de chaque soin (si le besoin d’emballage est), LUSH a intégré à même sa structure plusieurs principes «verts» visant à réduire son empreinte environnementale. Leurs produits sont entièrement végétariens, plus de 70% sont végétaliens. Quelques mixtures (moins de 30%) contiennent des parabènes d’origine végétales à fin de conservation. De plus, l’approvisation en matières premières est éthique lorsque possible. LUSH boycotte toute entreprise utilisant les animaux comme cobayes, en plus de s’investir dans la lutte politique visant l’interdiction de ces pratiques. Les soins sont plutôt testés sur des volontaires humains.

Enfin, loin de moi l’idée de vouloir continuer mon infopub à l’infini. Sachez que toutes ces informations sont disponibles sur le web, moindrement un peu de recherche. Je souhaitais simplement pouvoir vous faire un petit résumé/état des choses afin d’orienter votre recherche à vous. D’ailleurs, c’est dans cette optique que je souhaite vous présenter 3 produits que j’adooooore:

1. Supplément de couleur Jackie Oates / jaune pâle

Une des meilleures choses qui soient arrivées à ma peau, like fo’real. Vous cherchez un fond de teint/correcteur qui n’a pas l’air d’un masque mortuaire, qui se mélange bien à la peau, qui a une texture agréable et qui n’irrite jaaaamais la peau? Voilà. Perso, j’utilise la nuance jaune pâle depuis mai et je compte switcher vers Jackie Oates (la nuance la plus pâle) cet automne. Ce correcteur rehausse et s’harmonise à merveille avec les peaux très pâles. Il corrige les imperfections, cernes et tâches pigmentaires (héritage de la rosacée de ma mère) en douceur. Certaines lui reprocheront son côté huileux, le manque de couvrance et l’odeur un peu étrange. Moi j’y vois plutôt hydratation, teint naturel & aucun parfum irritant. Ça s’applique au pinceau ou en tapotant avec les doigts (mais sortez-le de sa petite jarre avec une spatule ou un pinceau propre), mélangé à un hydratant ou non. Chaque nuance est infusée de bonnes choses (soya, lin, avoine, pétales de roses…) en plus d’être vegan à l’exception du Jackie Oates contenant miel & lanoline. Bref, à 14$ le pot de 20 grammes, c’est le deal du siècle.

Un tonique sans alcool qui work the shit out de chaque pore de ta face? Ouep. Cette eau de melaleuca (contenant aussi huile de pamplemousse et extrait de baies de genièvre) tonifie la peau et éclaircit le teint tout en prévenant les imperfections SANS décaper la couche externe de l’épiderme. Il est donc parfait pour les peaux sensibles. Hourra!

3. Désincrustant & nettoyant L’or noir

T’sais, y’a des fois où pendant l’été (et pendant l’année), on perd la carte. On boit beaucoup, beaucoup de soirs de suite, on mange beaucoup de poutine (ou du chow-mein à 2$) et puis on se réveille un beau milieu de l’après-midi avec LA PIRE face des univers. Heureusement, à chaque grand maux il y a un grand remède comme ce turbo désincrustant au charbon antibactérien. Vraiment, c’est comme une intervention pour le visage. La formule est également parfaite pour ton cousin ado dont la face shine tellement elle est huileuse. À utiliser avec parcimonie.