Je suis allée au Beachclub de Pointe-Calumet de façon non ironique et j’ai eu du plaisir!

Mon best friend se nomme Alexandre Fortin et il travaille chez V depuis quelques années. On s’est connus dans le temps de Bombe.TV. La ligne éditoriale de Bombe était de tester des affaires ludiques et de ne pas avoir de jugement, mais de savoir bien rigoler et être drôle. De ce côté-là, ç’a été très formateur parce que maintenant je peux aller non ironiquement à plein d’endroits et avoir du fun.
 
This being said, vous auriez dû voir ma face quand j’ai reçu l’invitation média pour aller voir Akon au Beachclub. Déjà, je me demandais deux choses : avec qui j’allais y aller et comment est-ce que j’allais bien m’habiller. Je suis bien trop matante pour me mettre en bikini.
 
Je ne sais pas s’il y a une force supérieure qui m’a entendue, mais dimanche matin, il faisait quand même froid, alors pas besoin de penser à mettre un bikini et hop! j’ai mis ma robe style nuisette que Carolane m’a offert il y a trois ans pour le jour de l’an, mes chaussures de type pantoufles #AchetéesAvecMesSous chez Zara et ma veste Frank and Oak de style kimono-robe de chambre. Pour m’ajouter un peu de edge, j’ai mis mes lunettes de chat, mon rouge à lèvres rouge de chez Lise Watier et mon choker de chez Le Château. 

Je savais que vestimentairement, j’allais moins fitter, mais je trouvais que je respectais ma personnalité comme ça. Et je ne vous mentirai pas, ça me faisait bien rire de pas trop fitter.

Rendue là bas, après avoir atteint mon quota de pas entre le stationnement et l’entrée, j’ai vraiment eu beaucoup de plaisir à faire l’expérience complète d’une journée au Beachclub. Mon accompagnatrice et amie Stéphanie m’a acheté un yard drink comme on en trouve à Las Vegas pis j’ai pu le remplir ensuite avec la bière dans le VIP.

Une chose est sûre, Olivier Primeau sait recevoir et il sait ce qu’il fait. Quand je me suis faufilée derrière la scène pour prendre en photo les foufounes de Akon, j’ai pu le voir dans le feu de l’action (Olivier, et Akon aussi, si on y pense). Même s’il a beaucoup de plaisir, il fait rouler une business et marie parfaitement le fait de savoir s’amuser et mettre ses limites.

C’est le fun, c’est dehors, il y a des drôles de drinks, c’est dépaysant, et il y a des foodtrucks de poutine. Et même une piscine! Il y a même un service d’autobus pour y aller si vous n’avez pas de voiture (gratuit pour y aller, 11 $ comptant pour le retour).
 
Bref, je vous présenterai plus en détail ce qui s’est passé dans ma journée de dimanche dernier très prochainement. Ce que je peux vous dire, c’est que ça peut être bien drôle de rire du Beachclub parce que ça nous ressemble un peu moins, comme Montréalais.e.s cool pis toute, mais ça veut la peine de tester l’expérience, pour de vrai. Et c’est surtout incroyable de voir le travail et la rigueur derrière le brand et la place.
 
Donc, du plus profond de mon cœur, j’ai vraiment eu du plaisir au Beachclub. Et can’t wait d’y retourner pour Sean Paul (un peu moins habillée promis).