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Les rāmen, de quessé?
Bien que ce soit considéré comme un plat typiquement japonais, celui-ci est chinois à l'origine. Ce mets fait sa grande apparition au Japon, à la suite de l’immigration chinoise à Yokohama (il y existe même un musée de rāmen). Ce n’est qu'après la Seconde Guerre mondiale que les rāmen connaissent leur véritable expansion. Grâce aux marchés ambulants, ils deviennent vite populaires, car ils sont nutritifs, réconfortants et surtout, cheap. Depuis, chaque région nippone détient sa propre façon de cuisiner le mets, marquée par leur culture respective.
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Le bouillon est également très important puisqu’il permet de distinguer les familles de rāmen : shoyu (bouillon de sauce soya), miso (pâte fermentée), tokotsu (os de porc) ou encore shio (base de sel).
Ensuite, on ajoute généralement de la viande, des œufs mollets, des algues séchées, des champignons noirs, du bambou ainsi que du narutomaki (rouleau de pâté de poisson).
Les cuisiniers du Momofuku Noodle Bar, à New York.
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Voici donc mon petit guide pour vivre votre (ou mon) rāmenlove pleinement :
Tampopo, Jūzō Itami, 1985 :
Pour votre samedi soir ben relax avec votre bol de nouilles, ce film est tout indiqué. On y apprend tout plein de choses sur la culture japonaise, la direction photo est débile et le personnage principal est une femme qui rocke. Que demander de plus?
Restaurant Kazu :
1862, rue Sainte-Catherine Ouest.
Pour votre pause lunch, un jour de semaine. Quand j’y suis allée la première fois, je ne m’attendais à rien. Ne vous laissez pas leurrer par l’extérieur. Osez faire la file (toujours un peu longue), ça en vaut vraiment la peine. Je n’ai pas envie de vous dévoiler mon punch, mais c’est les meilleurs rāmen en ville, ah!
Les petits looks :
Pour votre sortie au Kazu, je vous propose trois petits kits d’inspiration pseudojaponaise.
Quels sont vos restaurants de rāmen favoris? Quel est votre comfort food préféré?