J’ai un grand intérêt pour les bonnes manières et l’étiquette. Les gens se moquent souvent de moi pour ça. Pfffft, leur dis-je.
Nous vivons à l’ère des technologies. Les réseaux sociaux et autres appareils intelligents? Ils remplacent une bonne partie de nos interactions humaines et sociales. Les vraies interactions deviennent donc très importantes, et pour ce faire, de bonnes manières sont de mise!
Démodé, le savoir-vivre? Absolument pas.
Snobs, les bonnes manières? Normalement, une personne snob ne cherche pas à inclure les autres. Or, votre savoir-vivre, c’est pour les autres et non pas pour vous-mêmes. Le savoir-vivre est l’expression même de notre conscience sociale. Qui a dit qu’il fallait être une aristocrate ou une intellectuelle pour avoir de bonnes manières? Le concept n’est pas exclusif.
Je vous souhaite donc la bienvenue dans la nouvelle chronique « Premières dames », ha.
Le savoir-vivre en tant que GBS (Gros Bon Sens)
C’est la base. Des choses qu’on a parfois tendance à oublier. Ça arrive à tout le monde. Essayez juste d’y penser avec trois gestes courants. Je vous mets au défi!
Le savoir-vivre en tant que GBS (Gros Bon Sens)
C’est la base. Des choses qu’on a parfois tendance à oublier. Ça arrive à tout le monde. Essayez juste d’y penser avec trois gestes courants. Je vous mets au défi!
- Vous devez bâiller? Mettez votre main devant votre bouche. Oui, même si vous êtes endormis. On se connaît pas assez pour s’admirer les amygdales. Oh, et même si on se connaît…
- Vous éternuez? Vous toussez? Idéalement pas sur les gens dans votre environnement immédiat. Visez le creux de votre coude. Comme ça vos mains seront safe, d’un coup que vous serreriez la main de quelqu’un.
- Vous entrez dans un bâtiment en tirant ou en poussant une/des portes? S’il y a quelqu’un derrière vous, tenez la porte ouverte pour lui/elle. On s’entend, si la personne est à 10 mètres, laissez faire. Si vous êtes la personne à qui on tient la porte, hochez la tête, souriez ou dites merci.
Ça a l’air idiot à vos yeux? En le faisant, vous verrez à quel point ce n’est pas inné ou même acquis pour la plupart des gens.
Prochaine chronique : savoir-vivre des rencontres, des invitations et des visites. Ça vous tente?