Yo l'eau? Yolo? Un édito sous l'eau, c'est drôle et ça n'a pas tant de sens!

Je ne suis pas assidument les différentes éditions d'American Next Top Model : tsé, ça revient toujours à la même affaire. Je préfère regarder des séries de fiction ou des films que des télé-réalités.

Disons que les quelques fois où j’ai eu la « chance » de tomber sur une émission d'ANTM, ils présentaient toujours un shooting vraiment troooop intense dans des conditions niaiseuses (genre dans une tombe, en faisant du cheerleading sans étirement, etc.).

En faisant des recherches pour trouver l’édito de la semaine, je n’ai pas pu m’empêcher de rire (même si ça faisait bizarre de rire fort dans un Starbucks avec ma pile de bagages en attendant mon vol pour Montréal).

Parce que j’ai de la difficulté à trouver le pourquoi du comment d’un choix éditorial comme ça. Je ne comprends pas non plus les designers qui prêtent leurs vêtements pour aller faire une baignade, à moins que le Grazia India (la revue qui publie l’édito) ait vraiment beaucoup beaucoup de sous pour remplacer les vêtements par après.

Entre vous et moi, quand le visage de la mannequin est aussi awkward, on devine assez rapidement que la position ne doit pas être super confortable.

Mais tsé, fuck yeah art, han! C’est juste pas le type d’édito qui vient me chercher, qui me permet de me construire un imaginaire par rapport à un style vestimentaire. Si, au moins, on avait fait un clin d'œil à la petite sirène, peut-être qu’il serait venu me chercher pour de vrai!