S’habiller soi-même et parvenir à apprécier l’élégante simplicité du quotidien comme J.Lo.

Breaking news : Jennifer Lopez, femme toute simple, véritable emblème de la girl next door (DIRECTEMENT SORTIE DU BRONX!) et des goûts modestes, nous confirme au détour d’une entrevue pour l'édition de février du Glamour Magazine qu’elle est tellement out of this world que de simples gestes comme celui de S’HABILLER lui permettent de rester en contact avec la réalité : 

« I like the whole idea of traveling, of looking good, and doing it well. I make it as simple and as beautiful as I can because my life is kind of big. So I pack my luggage, or dress myself, or comb my kids' hair, pick up their clothes — that makes our life beautiful, you know? There's something very elegant in that. » 

Les vedettes! Des gens si terre-à-terre! 

« I get that JLo usually has stylists sewing her into $50,000 gowns and a team of vagina nurses who change her rabbit fur tampons for her, but is she that out of touch? » – Un gros LOL via le très désopilant Dlisted.com

Certainement pas le genre d'édito qui risque de recevoir les éloges de ma collègue Sarah!

Après avoir passé un bon bout de temps à éplucher les looks de la diva, je peux officiellement confirmer qu'ils sont l'épitome du mauvais goût et de la redondance : paillettes, fourrure, imprimés léopard/python, paillettes, décolletés jusqu'au nombril, froufrous, robes au ras les…, paillettes. Bref, ON CONNAÎT LA CHANSON.

Mettons que la robe Zuhair Murad qu'elle a portée aux Golden Globes n’était qu’une énième variation sur un même thème : 

Mais s’il y a une chose qu’elle fait bien, c’est de porter des couleurs flash et unies. Ça donne des looks sans flafla où on retrouve pourtant toute la fierceness à laquelle nous a habituée la p'tite Jenny from the block :

C'est d'ailleurs ce qui m'a inspirée pour le montage. Au final, il n'y a plus ben ben de J.Lo là-dedans, mais c'est sans doute mieux ainsi, ha!

Alors : mes pièces de base sont les deux hauts structurés et de couleur unie, qui rappellent les robes portées par la Lopez. À part le foulard plutôt voyant, le reste demeure tout simple : des pièces neutres comme les chinos beiges, la veste de denim ou le tricot kaki viennent complémenter l'ensemble puisqu'ils permettent de focaliser sur les hauts.

Des bottes cloutées pour le bling, une tuque à pompom en fourrure parce qu'il fallait bien un peu de poil quelque part et une bague en forme de clou juste parce que je la trouve awesome!

Les détails du montage sont ICI et vous pouvez voir le reste des photos de l’éditorial (et lire les autres débilités proférées par J.Lo) juste LÀ.