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Le premier voyage avec la belle-famille: plein de feels entre la hâte et l’appréhension
Crédit: Tucker Good/Unsplash

J’adore ma belle-famille. Ils sont probablement parmi les personnes les plus gentilles, douces et accueillantes que je connaisse. Ça fait bientôt deux ans que je partage la vie de mon chum et donc, que je côtoie ses parents et frères et sœur. Cette année, ils m’ont fait l’immense honneur de m’inclure dans leurs plans de voyage!

Pour la mise en contexte, ma belle-famille est mexicaine. Ils ont quitté le Mexique il y a plusieurs années déjà pour s’établir ici et mon doux que le Québec a accueilli une des familles les plus travaillantes et inspirantes ever. Ça fait donc deux ans que je mange la meilleure bouffe (la nourriture mexicaine est sur le patrimoine culturel mondial de l’Unesco, guys, on niaise pas) et que j’essaie d’apprendre l’espagnol entre deux bouchées de sopes (photo juste en dessous, pour référence).
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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T'SAIS. Meilleure bouffe. 
Crédit: quieroamrit/Instagram

Cet été, toute la famille a décidé de retourner aux sources en allant deux semaines au Mexique et c’est assez spécial, car ils n’y sont jamais allés toute la famille ensemble. Quand ils m’ont demandé si je voulais faire partie du voyage, j’ai immédiatement dit OUI. On s’entend que c’est une occasion rêvée de découvrir plus en profondeur la culture et l’héritage de ma belle-famille d’amour et je ne pouvais juste pas passer à côté.

À une semaine du départ, je dois toutefois avouer avoir quelques mixed feelings. Outre mon immense bonheur, je suis un peu stressée d’aller rencontrer toute la famille qui habite encore au Mexique…

Premièrement, mon espagnol est LOIN d’être fluide. Je me débrouille (merci à ma belle-maman de m’écrire en espagnol sur Messenger depuis des mois pour pratiquer ma compréhension!), mais disons que j’aurais adoré pouvoir interagir sans limitations avec la famille de mon chum.

Deuxièmement, je crains un peu le choc culturel. Ok la culture n’est pas SI différente que ça, mais reste que la façon de considérer les animaux et la femme n’est pas la même qu’ici et comme je suis vraiment sensible, je sais que ça va m’affecter. Et disons aussi qu’on vit dans une petite bulle de confort et de richesse ici pis c’est loin d’être le cas pour une majorité de la population mexicaine.

Ceci étant dit, je sais que je suis vraiment chanceuse de pouvoir vivre le Mexique de cette manière. C’est sûr que j’ai des petits stress, mais après je pense au fait que je vais manger mille tacos et découvrir la culture mexicaine avec mon amoureux et sa famille et je me dis que finalement, mes petites peurs sont pas si pires que ça.

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